Soyons extraordinaires ensemble, plutôt qu’ordinaires séparément.

Je suis né dans une famille étrange dirons nous. Vancouver. Un petit hôpital très peu conseillé et pourtant c’est là que j’ai poussé mes premiers cris. Des parents jeunes. Aucune expérience pour être de parfait parent, je n’aurais sans doute jamais demandé de géniteur parfait, mais sans doute plus normaux. Alcoolique pour l’un et droguée pour l’autre. Mon enfance, je l’ai vécu caché dans les placards de la cuisine. C’est dans cet endroit que j’ai vécu et appris beaucoup de chose. La lecture, j’ai compris comment faire seul dans l’un de ces placards où régnait une atmosphère pesante, les produits ménager n’avaient aucun secret pour moi, je n’avais que cela comme occupation, lorsque je me cachais des rires de mes chers géniteurs. Je savais quand je devais me réfugier à l’abri de tout ce qu’il pourrait me faire. Les coups, j’en avais récolté un nombre conséquent. Je n’avais que très peu de moyen de défense dans mon enfance, personne à qui en parler être seul dans toutes circonstances.

C’est à l’âge de six ans, que ma vie aperçu un rayon de soleil. Ce rayon de soleil se nommée Dolce. Jamais, je n’avais parlé à qui que ce soit des malheurs qui s’abattaient sur moi quand la drogue et l’alcool étaient devenus la seule chose qui préoccupaient mes parents. Les choses avec elle se sont faîtes simplement. Sans elle, je me voyais plus vivre. Son sourire de petite fille qui faisait son charme et puis j’avais rapidement mis ma confiance entre ses mains. Elle m’avait inspiré confiance et sérénité. Je lui avais raconté ma vie, mon calvaire ce cauchemar que je vivais jours après jour auprès de ma famille, qui me faisais plus de mal que de bien. L’école c’était pas forcément la chose qui me ferais briller, j’étais dans la moyenne dirons nous. Ce qui me plaisais dans le fait de me rendre en cours, c’était de voir Dolce, d’être loin de mes parents, car désormais me cacher dans ce placard en dessous de l’évier allait être un peu plus rude vu ma taille. Je risquais de me sentir à l’étroit désormais, souvent je préférais retrouver refuges dans les bras de Dolce et m’échapper loin de mon malheur familial. J’ai vécu des études primaire parfaite malgré tous les coups que j’avais pu recevoir. Mais, toutes la beauté de cette vie , c’était elle qui l’avait provoqué, Dolce, ce n’est pas de l’amour , juste une amitié qui nous emmène plus haut. Loin de toute chose pouvant nous attirer vers le bas. Sans elle la vie ne me paraissais pas avoir de sens, et pourtant ,j’allais devoir apprendre à vivre sans elle.

Je déménageais. Loin d’elle, mais aussi loin d’eux. J’avais mal de partir. Il fallait que maintenant quelqu’un se rende compte de tout ce mal que j’avais subi quand j’étais heureux malgré les bleues sur mon corps. Je voulais tout, sauf partir loin de Vancouver. J’y avais mes marques et son amitié tout comme celle de pas mal d’autres personnes, mais la sienne comptait plus que tout. Elle était ma meilleure amie, mais un peu plus que cela, elle était aussi ma sœur. Elle avait prit une place importante dans ma vie et forcément une si grande place point occupée déboussole quiconque. J’étais mal sans elle, mais nos coup de téléphone permanent, nos textos échangés aidaient terriblement. J’étais un peu plus différent, distant et assez froid, je me méfiais, je devais avoir laissé paraître trop de chose sur moi à Vancouver pour que les services sociaux se préoccupe de moi alors que j’étais maintenant habitué à cette routine de violence. J’avais repris d’autre habitude , avec d’autre personne. J’étais en foyer à ce qui paraît c’était toujours mieux qu’autre chose.

Mon adolescence comme toute autre a été remplie de première fois. Le premier regard, la première envie, le premier baiser, la première fois. Ce qui manque? Sans doute les premiers sentiments. J’étais fermé et je le suis encore , je ne veux pas aimer , car chaque personne que je m’autorise à aimer est une personne qui deviendrait l’une de mes faiblesses. Ne pas aimer revenait à tout simplement devenir plus fort. Mon seul talon d’Achille était Dolce qui se tenait si loin de moi. J’étais à Los Angeles. Izya fût ma première fois et beaucoup d’autre après. Rien mise à part l’amour du sexe nous réunissait et une légère amitié. Elle se confiait à moi pourtant moi je lui cachais tout ce que je pouvais bien avoir vécu avant. Ce secret était tout simplement le mien que j’avais seulement envie de le partager avec Dolce. Personne d’autre.

J’étais pas très brillant à l’école, pourtant j’atteignais les cours supérieurs. Ma relation avec Dolce n’était plus vraiment la même. Le contact gardé grâce au téléphone et aux lettres n’est point pareil que quelqu’un vous prenant dans ses bras. Elle me manquait,mais je cachais la souffrance que contenait mon être pour continuer d’avancer. Cambridge. Havard. Université réputé et si incroyable que cela puisse l’être j’étais parvenue à rejoindre les rangs de cette dernière. Je ne savais pas que j’aurais pu croiser Dolce. On savait tout deux que l’autre allait à l’université, mais on avait tourné autour du pot de donnant pas le nom à l’autre de l’université prochainement fréquenté. Pourtant, j’eus le plaisir de recroiser Dolce et de redécouvrir notre amitié telle qu’elle était auparavant. J’étais confiant de cette amitié. On a retrouvé toute nos habitudes ensemble affrontant ensemble tout les inconvénients de la vie. Grossesse, rupture, peine tout y est passé  et rien ne nous a séparé.

J’ai dû repartir pour régler quelques soucis familial et amical, mais cette fois mon amitié avec Dolce n’a pas changé malgré les longues conversation téléphonique. Je sais tout ce que Dolce a subit depuis mon départ, et je n’accepte pas certains comportement, mais je laisse une chance, je verrais bien comment se comporte certaines personnes. Je vais pouvoir enfin serrer la jolie blonde dans mes bras et profiter d’elle.