"Aujourd'hui, le meurtrier supposer de Laura Smith aurais été interpelé... tout de suite un reportage sur les enfant soldat de la Sierra Leone reportage signer John... Le tigre qui ne compte actuellement plus que 3 500 représentant du au bra..."
Tout en soupirant je coupe la télé. Je trouve l'être humain si décevant certains jours... Je poses ma tasse dans l'évier, embrasse ma mère sur la joue, sort de chez moi, puis montes dans ma voiture. C'est pas le tout mais c'est que je vais être en retard. Pendant le trajet, je prends tout de même le temps de me réciter le discoure que j'ai prévue de donner durant la mâtiner a tout le lycée. C'est vraie que je prend mon rôle de présidentes des élèves très a cœur, mais j'y peut rien c'est dans ma nature. Je doit sans doute tenir ca de mon père et mon côté affectif et collant de ma mère. J'ai toujours été proche de mes parents et la famille occupe une place importante pour moi. Tout comme mes amis que j'étouffe par fois d'ailleurs... Mais jusque là ils ne m'ont jamais abandonner. En faite c'est moi qui vais les abandonner et sa me rend malade. Si je le pouvais je les emmènerais avec moi dans ma valise quand j'entrerais à l'université...
J'arrive enfin sur la parking du lycée et ma gares comme tout les jours à côté de Mei ma meilleur amie. Je descends m'apprêtant à aller lui sauter dans les bras quand je constates qu'elle est en grande discutions avec son copain. A ce moment précis j'aurais donner n'importe quoi pour savoir ce qu'il lui disais. Premièrement parce que je suis la reine des curieuse et deuxièmement parce que vue sa tête je crains le pire. J'ai horreurs de la voire malheureuse, car si elle est malheureuse je le suis aussi... En faite je suis comme ca avec un peu tout le monde. Mais l'heure me ramène vite a l'ordre, j'ai un discoure à faire et Mei en a pas encore fini. J'attrape donc mon sac sur le siège passager, la salut de loin à contre cœur me disant que je la verrais d'ici quelque heures où je la consolerais. Puis je files vers le bahut faire part aux étudiants des nouvelles décisions prise par le lycée qui ne sont pas du tout a mon gouts...

"Regarde celles là!"
J'adore les samedis après midi, c'est le meilleur moment pour faire du shopping. Et c'est encore mieux quand je le fait avec avec Mei, qui était en train de me montrer une magnifique paire d'escarpin, mon pêcher mignon. Quand on connait mon côté révolutionnaire et justicière, c'est vraie qu'on me verrait d'avantage avec un style de première de classe ou d'hippie. Pourtant c'est tout l'inverse, je suis une vraie fille jusqu'au bout des ongles. La preuve je fait de la danse classique depuis l'âge de 2 ans du coup j'ai la chance d'avoir un physique qui me permet beaucoup de choses comme les minis robes, les jeans serrés et j'en passe. Longues jambes, taille de guêpe, poitrine comme il faut... Par contre je n'ai pas la taille d'un mannequin avec mon petit mètre soixante mais je compense avec ma colletions de chaussures. Toujours est il que je n'ai plus ma réputation a faire de ce côté là. Je suis la reine des fashion victim d'après le journal de lycée... Mais ma plus grande fierté est mes cheveux. Mon père a toujours dit que c'était le première arme de séduction chez une femme. Et je n'irais pas le contredire, surtout que cette longue chevelure fait bien la paire avec mon regard de biche. Du coup, j'ai toujours attirer les garçons mais, j'ai aussi toujours crue au coup de foudre... Alors j'ai un peu tendance a briser des cœurs. Mei commençais à me regarder de travers.
"Ne me dit pas qu'elle ne te plaise pas!"
Je ris puis lui les pris de mains.
"Je crois que je vais ajouter une nouvelle paire a ma collection..."

Mes parents on toujours dit que j'étais une petite fille pas comme les autres. La preuve, naitre un 29 février c'est déjà pas très commun. Sans compter que j'ai toujours voulue qu'on me souhaite mon anniversaire uniquement le 29, autant dire tout les 4 ans seulement. Ça parait stupide, et pourtant c'est toujours le meilleur anniversaire à chaque fois. Sans doute que c'est dut a l'attente des 4 longues années ou parce que mes parents ce sont toujours démener pour rendre ses journées inoubliables!
Mon prénom lui aussi et plutôt unique, Texa en référence au Texas l'état dans le quel je suis née et où j'ai vécus seulement ma première année. M'appeler comme ca était sans doute un hommage, car ma mère et mon père, diplomate, ont dut beaucoup bouger dans tout le pays. Tout deux désiraient un enfant plus que tout, mais la génétique n'était pas de leur côté. Et pourtant, c'est au Texas qu'il réussirent enfin a assouvir leur désir de parentalité. Malheureusement je serais la seul enfant qu'ils auront. Ca me rend tellement triste pour eux, mais ma mère ma toujours dit "je préfères avoir la fille la plus extraordinaire que tout un tas d'enfants banals", alors je compense en laissant ma mère me couver comme aucune autre mère ne le ferrais. Mais elle détins sur moi...

J'ai toujours été envahissante dans la vie de mes amis, que ce soit ceux que j'ai eu en Californie, dans le Mississipie, en Floride et j'en passes. Mais je crois que c'est en terminale où j'ai été la pire. Surement parce que mon père fut muter durant 5 ans à Miami et que j'ai eu le temps de vraiment m'attacher aux gens. C'est a cette époque aussi où j'ai fait mes début de grande humaniste et auditrice dans de nombreux débat a mon lycée.

Mais du plus longtemps que je me souviennes j'ai toujours été comme ca! Surement mon père qui m'y donna goût. Je me rappelle encore, tout les matin au petit déjeuné, il exprimait toujours son mécontentement ou son enthousiasme face au nouvelles des journaux et souvent il répétait que la vie n'était pas rose pour tout le monde. J'avait donc fini par lui demander "Si la vie n'est pas rose, elle est de quelle couleur ? ". Et mon père m'avait alors répondus que je le saurait quand je serait grande. Ma curieusité me poussa a lui poser cette question plusieurs années durant et jamais il ne me répondis, jusqu'au jour où par moi même j'eus une réponse...

Le lycée se finis et je dut partir pour l'université de Cambrige à côté de Buston. Mes parents, mes amis, Mei, je dus tous les quitter pour le nord du pays (ce qui allait me changer). Mon père quand a lui fut muter a nouveau au Texas , ce qui rendis ma mère nostalgique et je promis d'aller les voir aussi souvent que possible. Et a mon avis plus souvent que je ne le penses car la chaleur risque de me manquer. Mei, elle, elle partie en école de stylisme a New York du coup nous nous retrouvâmes pas si loin l'une de l'autre.

Toujours est il que cela fait 3 ans maintenant que je suis a Cambridge. La seul université a me proposer le cursus scolaire que je souhaitais avec une option en danse, ma seconde passion après la politique. Cela fait 20 ans que j'en fait maintenant alors autant dire que mon niveau frôle l'excellence. J'aurais put entrée pourtant au conservatoire, mais je voulais aussi me lancer dans la politique. Alors comme je n'ai pas put faire un choix je suis aller a Cambridge. Depuis j'ai tout un tas de nouveaux amis, d'ennemis car on ne peut pas plaire a tout le monde quand on est une fille aussi investie dans la vie universitaire et le début d'une grande histoire d'amour? (tout ca a définir dans mes relations)