Code Ok Dolce

Ce matin, je m’étais levée de bonne heure et j’avais consciencieusement préparé mon petit déjeuné. J’avais complètement oublié que j’avais renvoyé mon cuisiné chez lui et que j’avais toujours pas de remplaçant. D’ailleurs, je n’avais guère le temps de passer des annonces pour trouver un cuisiné hors de prix. Je m’étais préparé des toasts au beurre de cacahouète. C’était le plus gras des petites déjeuné mais, j’adorais cela et avec tout les sports que je pratiquais , j’allais très vite perde les calories de ce petit déjeuné copieux. Par moment, je trempais ma cuillère dedans et je léchais la cuillère, c’était si bon que j’en mangerais bien en longueur de journée.

Ensuite, j’optais pour un bon bain bien chaud et moussant. Je coulais l’eau, et doucement, j’enlevais mes vêtements que je le laissais trainer sur le sol de la salle de bain. Ensuite, j’entrais dans l’eau bien chaude et je prélassais dans mon bain, laissant l’eau chaude agir sur mes muscles contractés... Humm cela me faisait un bien fou. Je profitais un maximum, la mousse de mon bain-moussant me relaxait alors que j'inspirais la senteur de cette odeur de parfum à la vanille à pleines narines. C’était l’un de mes gouts favoris. Je soupirai de bien être en fermant les yeux, enveloppée par la mousse aux odeurs de vanille. C’était du pur bonheur.

Pour une fois, il avait personne à la maison, ni même les femmes de ménages que j’avais renvoyées chez elles, plutôt que prévus. En faite, elles ne sont même pas venues. J’étais donc seule dans cette grande maison, et quant à mon fils, et bien, j’ignorais bien où il était. Depuis que s'est terminer entre nous, il était fort distant. Je savais bien que je lui ai brisé le cœur mais, il savait autant que moi que notre relation était impossible. Il avait peut-être 19 ans, mais nous n’avions pas le droit de révélé au grand jour que nous sortions ensemble. Maintenant c’était belle et bien fini, et je pense que j’ai pris la bonne décision.

Ryan ignorait les conséquences que j’aurais pu avoir si les autorités auraient appris que je couchais avec mon propre fils, je ne voulais pas aller en prison juste pour avoir profité de mon gamin. Je l’aime plus que tout, certes mais bon, mon cœur est destinée à son père et ça depuis toujours.

Au bout d’une bonne demi-heure, je sortie enfin de l’eau et j’enroulais la serviette autour de ma taille fine. Je me dirigeais directement vers ma chambre afin de trouver des vêtements que je pourrais bien mettre aujourd’hui. C’était toujours la même chose chaque jours, je me crevais le cul à trouver quelque chose que je pourrais bien me mettre sous le dos. J’avais tellement de choses qu’il me fallait bien des dizaines de minutes pour savoir quoi prendre exactement. Puis, j’optais pour quelque chose de simple et de relaxant. Je déposais donc le tout sur mon lit, et j’allais en vitesse me séché les cheveux et tout les petits soins que je faisais à mon corps.

Soudain, j’entendis l'ouverture du grillage qui s’enclencha. Nom d’une pipe pourquoi, je n’avais pas gardé quelqu’un chez moi comme mon majordome. Maintenant, j’étais obligé de bouger mon cul pour aller répondre à cet inconnu qui avait osé me déranger à cet heure du matin. Non mais, on ne lui a jamais appris de ne pas dérangé les gens à une heure pareille ? Il vraiment l’intention de me mettre en rogne et déjà rien que la façon qu’il venait de parler ou plutôt hurlé à travers tout bout de champ. EN ce moment, tout ce que je voulais c’était de lui dire d’aller ce faire foutre au plus profond de son mmm. Mais bon, je n’avais pas le choix et il possédait mes lettres et peut-être que l’une d’elles étaient quelque chose d’important.

Je descendis en vitesse et je m'y rentais au pied de la porte. Pas de sang, pas de lame ? C’est qui ce type ? Un poison ? Pourquoi il me disait une telle chose?

DENISE: Et quoi la politesse tu la laissé chez ta petite maman ?

Un bonjour n’était pas trop dur à dire non ? Et la façon qu’il m’adressait la parole, je détestais plus que tout, je ne suis pas sa chienne. J'avoue quand prenant mes lettres, je n'avais pas vraiment fait attention au nom qui s'affichait dessus... Sans dire quoi ce soit d'autre, je lui arrachais mes lettres de ses mains et je jetais un œil pour voir ce qu'il contenait.

DENISE: Ce sont que des publicités? Tu viens me casser les pieds juste pour des publicités à la con? Tu sais tu aurais pu me rentre un grand service en les gardant chez toi. Soudain, je tombais sur la dernière lettre, c'était une carte de vœux de mon frère. Mon dieu, il était toujours en vie ? DENISE : Tiens, cadeau, ca te fera un peu de lecture

Pourquoi l'ouvrir? Pour moi, mon frère était mort, et je ne voulais plus attendre parler de lui. Je ne prêtais pas attention au visage du bonhomme. En fait, j'en avais rien à foutre de qui il s'agissait. J'ouvris plus grand la porte pour qu'il puisse rentrer et pendant ce temps, j'allai chercher les lettres que j'avais déposé sur la table de travaille de la cuisine.