Nous sommes le jour anniversaire de la mort de ma mère. Le jour le plus triste au monde. Je me suis donc levé ce matin triste, d’ailleurs Quinn qui est venue me réveillé, car elle sait que sinon je serais restait toute la journée dans mon lit. Chaque année, ce jour-là, je n’ai rien envie de faire. Mais aujourd’hui c’est différent, j’ai promis à mon père que je viens avec lui sur la tombe de ma mère, avant on doit passez chez le fleuriste, car je tiens à acheter mon propre bouquet de fleurs pour le mettre sur sa tombe. Je me lève donc péniblement, après avoir fait un câlin à Quinn, puis je déjeune un peu car je n’ai pas très faim. Puis je vais voir mon père dans son bureau, ce jour-là il est comme moi, il est triste et s’isole du reste de la famille. Je lui fais donc un gros câlin puis on part avec maman en voiture, d’abord jusqu’à chez Tante Haley pour lui confier Ethan et ensuite chez le fleuriste. Mon père choisie un bouquet de rose rouge et moi un bouquet de rose blanche et rose mélangé puis on part vers le cimetière, je regarde le paysage défilé sous mes yeux, je pense à ma mère bien sûre et je me demande ce que serais devenue ma vie si elle était encore avec nous. J’ai envie de pleurer mais je me retiens de toutes mes forces car je me dois d’être fort pour mon père. Je n’ai pas le droit de m’effondrer, je serre alors le poing puis reprend mes esprit petit à petit. Au bout d’1h de route on arrive au cimetière, Papa se gare dans l’allée un peu plus loin, On sort de la voiture, Maman me prend dans ses bras quelques secondes pour m’encourager à y aller et me glisse dans l’oreille un « ca va aller mon ange » Je lui fais un léger sourire puis je prends mon bouquet et suis papa jusqu’à la tombe. – Bonjour maman…. Je t’ai apporté un bouquet. Je le pose devant sa tombe, rien que de voir « sara evans » et sa photo à coté me fit monter les larmes aux yeux, c’est plus dur que ce que je pensais et sans même comprendre pourquoi je fonds en larmes et me jette dans les bras de mon père. – Pardon… pardon papa, c’est trop dur. Je suis nul je sais, désolé. Dit-je avec les larmes qui coulaient le long de mes joues, j’ai honte de pleurer comme ça. Je me détache ensuite des bras de mon père pour aller m’asseoir le long d’un arbre à 2m de la tombe et pleurer tranquillement dans mon coin.