Now I've heard there was a secret chord,That David played, and it pleased the Lord,But you don't really care for music, do you?
It goes like this,The fourth, the fifth,The minor fall, the major lift,
The baffled king composing Hallelujah,Hallelujah,Hallelujah,
Hallelujah,Hallelujah...

Your faith was strong but you needed proof,You saw her bathing on the roof,Her beauty and the moonlight overthrew you,
She tied you,To a kitchen chair,
She broke your throne, and she cut your hair,
And from your lips she drew the Hallelujah...

~~Absorbé, par les paroles de cette chanson, j'essayais au mieux d'éviter les hurlements incessants de mon père, auprès de ma mère. J'avais beau mettre le son à fond, sa voix sonnait comme les carillons des cloches des églises. Je détestais par dessus- tout cette voix, elle était à la fois violente, cruelle...A chaque fois que je l'entendais hurler de la sorte, je me précipitais en bas, pour protéger ma mère de ces coups, qu'il lui mettait, mais pour être franc, j'avais cesser cela...J'étais désespéré, je n'en pouvais plus, et la dernière fois que j'avais protéger ma mère de ces poings, j'avais eu un œil au beurre noir pendant au moins quatre semaines. J'avais beau supplier ma mère de quitter cet homme, que je ne qualifiais plus de père. Enfin de mon point de vue, ce n'était qu'un pauvre animal sauvage, un ivrogne sale, et sans aucunes éducations, de savoir vivre et de compassion. Malheureusement, ma mère s'accrochait à quelque chose, peut-être un sentiment d'espoir? Mais l'espoir où était-il? Je me demandais ou pouvait-il avoir une chance que les choses changent quand je regardais cet homme. Enfin, mes pensées étaient plongées dans une sorte de spirale qui ne cesserait jamais malheureusement, où fallait-il mettre un terme? Sans doute, si je pouvais le faire disparaître de ma vie, de la vie de ma pauvre mère. Je repassais ma chanson en boucle, sans même porter une attention particulière aux hurlements de mon père. A la base, lorsqu'il hurlait comme cela, il était complètement ivre, et vraiment inconscient de ce qu'il disait. Mais, même sans un être ivre, il frappait ma pauvre mère par pur plaisir, un vrai sadique. Un dingue de première. Il m'est arrivé une fois, de m'imaginer, en pleine exaltation à le voir souffrir entre mes mains. J'en rêvais même, seulement, je ne voulais pas être enfermer, à cause d'un pauvre fou sadique qui aimait battre sa femme.

~~Un beau jour, en rentrant de l'école, je vis ma mère qui gisais sur le sol. Il l'avait encore frappé, seulement là, il n'était pas allé de main morte, et à dire vrai elle était complètement inconsciente. Paniqué, je finis par appeler une ambulance. Je me rappelle encore, qu'on ne cessait de me marteler de questions, mais impossible d'y répondre, et encore d'y prêter une intention particulière, j'étais complètement paralysé à l'idée de perdre ma mère. Malheureusement le pire arriva, après quatre jours d'hospitalisation ma mère décéda suite à une hémorragie interne. Enfin c'est ce que les médecins avaient conclu, seulement moi je sentais au plus profond de moi, qu'elle en avait eu assez de s'accrocher à une vie aussi atroce, et le pire c'est qu'elle m'avait laissé seul, avec cet homme. Inutile de vous précisez, que je finis par fugué, il était hors de question que je passe encore mon existence avec lui, et que je prenne des coups à la place de ma mère. Je n'osais pas non plus parler, de la mort de ma mère, j'ai eus naturellement du mal a l'admettre, même si je n'exprimais aucune opinion sur ce point de vue. Le soucis, c'est qu'il m'arrivait de rêver de tuer mon père, et plus j'y pensais, plus j'avais envie de le tuer au plus vite. Malheureusement, j'étais seul, et il m'était difficile de vivre sans argent en poche, et de dormir dans un endroit potable, c'était juste cette exultant pensée qui maintenais mon courage. Bien entendu, après trois mois de galère, j'eus des nouvelles de mon père, apparemment il me cherchait, et avait mis la police au courant. Je fus rapidement retrouvé, mais je ne voulais plus mettre un seul pied chez moi. Tout simplement parce-que je sentais que ces gens n'étaient pas francs, tous pourris les uns que les autres! Ils n'avaient même pas chercher à comprendre pourquoi ma mère était morte, même pas imaginer une seule seconde les états d'ébriétés de mon père en cause, je m'accrochais à la vie, et je ne voulais pas retourner avec cet homme. Je détestais les hommes violents, et cette réaction immorale que la police avait eue avec moi, confirmais mes soupçons. J'avais beau hurler dans la rue, crier de toutes mes tripes, m'accrocher à tous ce que je pouvais, ces individus en uniforme ne voulaient pas me lâcher. Ils en avaient conclus qu'étant pas majeur, ils m'étaient indispensable de vivre avec un parent, surtout après la mort de ma mère. Ils n'avaient pas chercher à comprendre pourquoi j'avais fuis. Par force et obligation, je dû retourner dans cet enfer qu'était ma maison. Chaque nuit je m'enfermais à clé dans ma chambre, je souffrais de peur, de tristesse, mon père avait cesser de boire, sans doute conscient de son crime. Il avait beau me supplier, me parler, je ne lui accordais pas un seuls regards, pas un seuls mots, pendant ces trois mois durant ma fugue, j'avais beaucoup réfléchis, et énormément mûris, et j'avais aboutis à une chose, malgré les pardons de cet homme, les supplices, il était hors de question de le pardonner, il était même indispensable qu'il meurs.

~~Puis un beau jour, ma plus grand ambitions, finis par naître. Je mourrais d'envie de le tuer. Étrange comme sensation, mais elle me hantait depuis des mois, qu'il fallait que je me vide de cela. J'avais réussis, avec une comédie hors paire, et bien entendu avec mensonges, de lui expliquer attentivement que je ne lui en voulais plus. Après l'avoir amadouer difficilement, subitement avec réflexe je brandis un couteau et je le poignardais. A ce moment précis, une femme entra, en voyant la scène elle hurla et couru comme une folle appelée la police. Je ne bougeais pas, j'étais plutôt captivé par la scène qui se passait sous mes yeux. J'avais rater mon coup, il était encore en vie, seulement je voulais finir mon travail, mais un homme m'agrippa avec violence. Je su après plusieurs mois, que cette femme n'était autre que la nouvelle amante de mon père, qu'il lui avait donné un double des clés, et qu'à ce jour elle allait sans doute habiter sous le même toit que nous si je n'avais pas eus la irrésistible attention de le tuer. Mon père s'en sortis, il fut seulement touché très grièvement de l'épaule. Quant à moi, je fus emmener dans centre de détention pour mineur, afin de me punir en quelque sorte. Pour ma part, être dans ce centre m'a permis de voir un peu plus clair sur mon geste irréfléchis, j'ai donc beaucoup mûris et en quelque sorte, je me suis enfermé sur moi même. Après avoir passer plus de quatre ans dans ce centre, j'ai finis par m'installer dans cette Ville, et vivre une autre vie, afin d'oublier celle qui m'a fait souffrir depuis tout jeune. Je ne veux pas parler de ma vie antérieur à qui se soit, je veux juste passer incognito, me faire le moins remarquer, surtout par mon passé, éviter de m'attacher aux gens. Voilà pourquoi je suis venu jusqu'ici. Espérons seulement, que je puisse oublier le passé...Tâche certainement difficile. Cependant, je ne suis pas un homme violent, malgré mon acte irréfléchis, j'étais juste poussé par la violence. J'ai mûris et appris à mes dépends que la vengeance ne servait strictement à rien. J'ai donc tenter de reprendre une vie normale, de continuer mes études, tout en passant inaperçu. Serais-je en mesure d'y arriver? J'ai certainement fais des conneries, coucher avec un nombre incalculable de femmes, mais ce n'est pas pour autant que je ne suis pas sain d'esprit.