La vie est comme un livre, quand un chapitre est terminé, on ne le relit plus, on écrit simplement un nouveau chapitre

On pouvait avoir une belle vie sans avoir de l'argent, j'en étais la preuve vivante. Ma tendre naissance était un accident, car j'étais née d'une femme célibataire ayant eu une relation adultère avec un homme marié. Dès qu'elle avait découvert qu'elle était enceinte, elle avait tout essayé pour me donner une famille dès ma naissance, c'est-à-dire, un véritable père qui apprendrait à son fils toutes les choses qu'un père devait apprendre à son petit garçon. Malheureusement, je n'avais jamais connu ce bonheur avant mes 7 ans. Chaque homme que je voyais renter à la maison ne revenait jamais. A un moment, je pensais que c'était de ma faute. Je n'étais pas le plus gentil des petits garçons, j'adorais m'amuser, jouer, faire du bruit, crier, chanter, oui... J'adorais, chanter c'était ma passion depuis mon tendre enfance. La chanson me faisait oublier toutes les choses que je vivais dans cette misérable petite vie que je menais avec ma mère ... Je savais qu'elle faisait de son mieux pour me rendre heureux, et jamais, je pourrais tant la remercier pour avoir fait autant de sacrifice. Elle aurait pu m'abandonner à ma naissance, mais non. Elle avait pris ses responsabilités en main, et elle m'avait éduqué. Je vivais dans une caravane toute l'année, et le plus dur, c'était de résister au froid glacial de l'hiver. Puis, ma mère avait rencontré le prince charmant. Il était gentil, doux, romantique, infectieux, généreux, serviable, il avait tellement de qualité, que j'avais bien cru qu'un homme comme lui ne pouvait pas exister et pourtant, c'était belle et bien le cas. Au début, je me méfiais de lui et je ne l'aimais pas trop même, s'il faisait tout pour moi, il me faisait plaisir mais ça ne marchait pas. À cause de lui, ma maman ne s'occupait plus autant de moi qu'avant. J'étais son petit garçon adoré, son chouchou et maintenant, elle passait la plupart de son temps avec cet homme qui à volé ma mère... Un soir, à mon 9e anniversaire, j'attendais impatiemment ma mère qui devait normalement rentrer du travail. J'attendais, assis sur le grand fauteuil à regarder un match de football avec mon beau père. L'heure défilait devant moi, et mon beau père essayait tant bien que mal de la contacter au téléphone. Où était-elle ? S'était-il passé quelque chose ? Avait-elle eu un accident ? Où pouvait-elle être tout simplement? Faisait-elle des heures supplémentaires ? Je regardais mon beau-père avec un regard interrogateur. Cette nuit-là, lui et moi, alors que je n'avais que 9 ans à cette époque, on avait fait le tour des postes de commissariat de la ville, on avait été voir chez ses amies, à son travail. Mais elle n'était nulle part. Il se faisait tard, alors on avait décidé de rentrer à la maison, et de commencer les cherche demain matin. Alors que mon beau-père montait dans sa chambre, il aperçut les tiroirs de sa femme vide, toutes ses affaires avaient disparu.... Une lettre était déposée sur le lit au nom de lui ... Il ouvrit, et le lissa..

Mes amours,

C'est fini... Ne m'en veut pas mon amour .... Ne m'en veut pas d'être parti, de t'avoir laissé seul avec mon petit garçon.... Je ne pouvais plus de cette vie .... Je ne pourrais jamais être une bonne mère pour mon fils, j'ai essayé, je te promets, mais je ne peux pas.

S'il te plaît, occupe-toi de lui, je sais que tu arriveras mieux que moi.... Je vous aime

Adieu

Le beau père n'en revenait pas. Comment avait-elle pu laisser son fils, son propre fils ? Un fils aussi mignon, et tendre qu'il ne demandait qu'à être aimé. Il tenu promesses, et il m'avait gardé comme convenu. On avait déménagé à cause de son boulot, et on habitait dans une base américaine posée à Fort Marshall. Je ne m'étais pas mal fait d'amis et je m'étais très vite intégré ... Les années passèrent, et je m'étais rapproché de lui fameusement, et je le considérais comme mon propre père... Ensuite, alors que je n'avais que 11 ans, je regardais bien sagement la télévisons avec mon père qui était en congé. Je me rappellerais encore de ce que je regardais, c'était le film « Top Gun » avec le célèbre Tom Cruise. Puis, en plus milieu du film un fait divers vient interrompre le film... Je n'en croyais pas à mes yeux, la première tour jumelle était en feu... Que venait-il de se passer ? L'animateur disait qu'un avion "air line" s'était craché sur la tour. Est-ce un accident ? Un acte terroriste ? Je n'en sais rien, et mon père ne pouvait pas répondre, car il ignorait autant de moi. Ensuite, à 13h03 un autre avion pénétrait de biais la face sud-ouest de la tour Sud - qu'on pouvait très bien voir grâce aux télédiffuseurs qui se trouvaient déjà sur place. L'avion fonça droit devant la deuxième tour. Je n'en revenais pas à mes yeux... C'était si horrible... 13h43, le Pentagone fut également touché .... Maintenant, c'était clair, c'était un acte terroriste. Peu après, mon père fut envoyé en Irak pour combattre l'enflure qui a commis ce crime. Pendant qu'il servait son pays, il m'avait déposée chez le voisin où sa femme était également partie en Irak avec la trompe de mon père... Je fis connaissance avec de ma future meilleure amie et nous sommes devenus deux inséparables.

Plus tard, alors que j'avais l'âge acquis de rester seul à la maison, bien sûr de temps en temps, le père de ma meilleure amie venait me voir ou m'invitait à la maison pour ne pas rester seul, et surtout pour avoir de mangeable. Je me trouvais dans le jardin la famille Nightingale à savourer un bon barbecue, quand soudain, je voyais une voiture de militaire qui s'arrêtait devant la maison. Mon coeur battait tellement fort, que j'avais l'impression qu'il allait me transpercer le coeur. La maman de ma meilleure n'était peut-être pas ma mère mais elle avait toujours été là pour moi. J'avais pris la main de ma meilleure en croyant qu'ils étaient venus pour elle et pourtant.... Les deux officiers s'avancèrent vers nous. D'un côté, on sait tous que quand ils venaient ici, ce n'est pas pour une bonne nouvelle.

▬ Officier; Désolé de vous déranger Monsieur Nightingale, mais on nous a dit que Monsieur Divizioso était ici. est-il là ?
▬ Moi; Je suis Divizioso
Mon coeur battait tellement fort, j'avais déjà les larmes qui montaient.
▬ O; Monsieur, allons à l'inter..
▬ Moi; dites-le-moi
▬ O; Nous devrions vraiment ren...
▬ Moi; Dites- moi
▬ O; Monsieur, le secrétaire de l'armée m'a demandé de vous exprimer ses plus profonds regrets pour la mort de votre père qui a été tué à Bagdad, en Irak. Il vous communique sa sympathie à vous et à votre famille pour cette perte tragique

J'étais sous le choc par cette révélation .... Je m'effondrais dans les bras de ma meilleure amie en larme. Je venais de perdre celui qui m'a tant aimée. Que vais-je devenir ? J'étais au lycée, j'avais à peine 17 ans et je n'avais plus personne désormais ... C'est alors que les Nightingale avaient décidé chaleureusement de venir habiter chez eux, et me traitaient comme un membre de la famille.

Cinq ans plus tard, je vivais toujours avec cette famille et grâce à l'argent que mon père m'avait laissé, et malgré qu'il n'était plus parmi nous, je voulais le rendre fier de moi, et je m'étais inscrit à l'Université pour suivre des cours de médecine. Cependant, les choses ne se passeront pas comme je l'aurais voulu. Je commençais doucement à sombrer dans la petite délinquance avec des potes de l'unif qui avaient une sale réputation au sein de l'enseignement. C'est à ce moment-là que je commençais doucement à dealer pour me faire de l'argent. Pourquoi travailler quand on peut se faire du fric facilement? Je ne cachais pas que je n'étais pas fière, mais, comme dirais si bien les filles, je ne suis qu'un sale manipulateur, une brute et un salaud donc, ce que les autres pouvaient penser de moi, je n’en avais strictement rien à faire. Je vivais ma vie comme je le voulais. Bien sûr, j'avais toujours respecté les femmes, et jamais, je n'aurais levé la main sur l'une d'elles malgré, que quelque s'une soit chiante à mourir. Je ne t'étais pas aimer de tous, et notamment à cause de ma réputation, les fils de papa préféraient m'ignorer que de me fréquenter sauf, les quelque cas, qui désiraient de la drogue. Là, on pouvait dire que j'étais quasiment leurs meilleurs amis. Ma meilleure amie ignorait totalement ce que je faisais et c'était bien mieux ainsi. Je ne désirais pas qu'elle le sache au risque qu'elle foute tout en l'air en me balançant auprès de ses parents ... Elle tenait énormément à mes yeux, mais il y a des choses que je préférais quand même - ne rien lui dire. Je n'aimais pas les fils ou les filles à leurs mamans ou papas et pourtant, ma beste en était une, mais, c'était différent. Je la considérais comme ma sœur, ma jumelle. Et elle n'était pas du genre à me traiter différemment des autres riches car, je venais d'un milieu relativement pauvre. Ma mère n'avait pas eu de quoi me payer des beaux vêtements quand j'étais enfant. À mon enfant, j'avais la plupart du temps, des vêtements de seconde main jusqu'au jour qu'elle rencontrait l'homme de sa vie, le père que je n'avais jamais eu et que je n'avais malheureusement pas eu l'occasion d'en profiter jusqu'à sa retraite. Maintenant, je ne me plaignais pas, j'avais ce que je désirais et je vivais dans une famille aimante, et si merveilleuse. Je priais le Bon Dieu de m'avoir laissé des gens aussi extraordinaires.

Cependant, malgré que je ne vivais que sur des coups d'un soir, car pour moi, l'amour, ce n'était pas réellement pour moi. Je n'y croyais pas surtout en ayant vécu ce que j'ai vécu. Oui bon, ma nouvelle famille était une exception à part, car, les parents de ma meilleure amie s'aimaient - du moins, je crois -. Aimer une personne, j'ignorais totalement ce qu'on pouvait ressentir, et comment on pouvait être. Est-ce que notre cœur bat à toute allure quand on voyait cette personne? Est-ce qu'on rayonnait à chaque fois qu'on était avec elle? On oubliait un peu les autres filles et on ne pensait qu'à elle? Chaque chanson qu'on écoutait nous faisait penser à elle? Alors, on recherchait tout simplement des infos pour qu'on ait des conversations qui l'intéressaient? Est-ce cela d'aimer une personne? Toutes ces questions, je l'avais déjà faite, et je le continuais à le faire malgré que je savais qu'on fond de moi, cette personne ne pourrait jamais s'intéresser à moi. Je n'étais pas ce genre d'homme et encore moins, je ne ramenais pas un salaire énorme. Je ne pourrais jamais lui offrir une voiture de sport, comme sa belle Porsche de couleur noire mat. Je faisais peut-être des études de médecine, mais il fallait seulement que je les réussisse mes années pour pouvoir me dire qu'un jour, j'arriverais à avoir une belle maison, une belle voiture, et une famille qui ne manqueront de rien. Ce n'était pas tout de se dire " et si" et fallait seulement réussir avant tout. Je n'avais jamais avoué à qui ce soit que j'étais "peut-être amoureux", je préférais garder mon ego et d'agir comme un homme sans cœur et le dire à ma meilleure amie, je risquerais non seulement de la perdre, mais de gâcher tout espoir en moi.

PSEUDO Je ne pouvais pas vous quittez bien longtemps hein :p Le forum me manquait de trop, donc, un petit retour s’imposait ^^ et façon, Il faut bien quelqu'un pour ennuyer son monde non? J'étais qui, j'étais qui? Haha, avait-il autant d'emmerdeur sur le forum avant? Je rajouterais le code plus tard quand je lirais le règlement comme je n'ai jamais lu les règles I never read the rules Sur ce, qui veut se faire violer?