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« La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir

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MessageSujet: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 21:26


« La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir Annebanner5


Tsvetana Lara Yjsalna

ft. Anne Marie Van Dijk


Vingt ans ▬ six juin 1991 à Mykolaïv - Ukraine ▬ Troisième années de médecine ▬ Zêta



HISTOIRE


C’est un mois d’été particulièrement chaud et les habitants de la grande ville de Mykolaïv vaquent à leurs occupations. C’est un jour comme les autres, les enfants vont à l’école en traînant des pieds et en rêvant aux prochaines vacances. Les adultes se rendent sur leur lieu de travail en souhaitant ne serait-ce que l’espace d’une journée redevenir dans enfants. Bref, rien de nouveau sous la Lune. Sauf pour Olga et Boris Yjsalna. Au volant de leur petite voiture un peu déglinguée, Boris conduit très nerveux et stressé. Il jette toutes les cinq secondes un regard angoissé sur sa femme assise juste à côté de lui. Cette dernière tient son gros ventre en soufflant lentement, elle tente de garder son calme malgré la douleur qui lui laboure le ventre. Elle sermonne Boris et lui demande de regarder devant lui, elle ne veut pas être agressive, mais elle n’arrive pas à s’en empêcher, elle a mal et aimerait bien être libérée le plus vite possible de tout ça. Enfin Boris se gare sur le parking de la maternité et il bondit hors de la voiture pour récupérer la valise d’Olga et la suivre jusqu’à l’intérieur du bâtiment gris. Il parle à la secrétaire d’une voix mal assuré et surtout à toute vitesse, le stress le ronge de l’intérieur. Une infirmière arrive et conduit le jeune couple jusqu’à une chambre. Olga enfile la tenue réglementaire et s’allonge sur le lit en soufflant. Boris s’approche de sa femme, prend sa main et y dépose un baiser, il veut lui prouver qu’il est là et qu’elle peut lui broyer la main si elle le désire. Le médecin entre, examine la femme enceinte et avec un grand sourire, annonce qu’ils sont arrivés pile à temps, le bébé va naître. Boris est mis dehors, il doit attendre dans le couloir avec les autres hommes. Il allume une cigarette. Il entend les hurlements de douleur de sa femme. Deuxième cigarette. Troisième. Au bout de la sixième, une infirmière apparaît, un grand sourire aux lèvres et s’approche du nouveau père. Elle annonce que tout le monde va bien, que l’enfant est une fille en parfaite santé. Boris jette sa cigarette et se précipite dans la chambre d’Olga. Elle tient leur fille dans ses bras, elle semble épuisée, mais heureuse. Son mari s’approche et regarde sa fille, il sourit avec tendresse et prend le poupon dans ses bras. Il murmure quelques mots à l’oreille du nourrisson, ils l’ont enfin leur enfant, celui qu’ils désiraient tant. Lara à peine née, était devenue le trésor, la perle rare, le centre du monde pour deux personnes : ses parents.

Une fois rentrée de la maternité, le monde d’Olga et de Boris continua de tourner autour de la petite Lara. Unique enfant et désirée depuis plusieurs années déjà, ils faisaient tout pour qu’elle soit heureuse, étant aux petits soins avec la fillette. C’était une enfant réceptive, ayant la risette facile et qui avait des yeux bleus-verts pétillants de vie. Lorsqu’elle sut crapahuter à quatre pattes, la petite fille s’en donna à cœur joie de faire courir sa mère et son père dans toute la maison. Et une fois qu’elle tint complètement sur ses deux jambes les bêtises allèrent de plus belle ! Elle ouvrait tous les placards à portés de main, tirait les chaises, cachait les chaussures de ses parents. Bref, c’était une enfant joueuse qui ne ratait jamais une occasion d’en faire voir de toutes les couleurs à ses parents ! Mais comment en vouloir à leur petit rayon de soleil ? C’était tout simplement impossible pour Olga et Boris qui préféraient rire des espiègleries de leur petite fille. Quand enfin Lana prononça ses premiers mots, ce fut l’euphorie complète, à croire que c’était l’évènement du siècle ! Pour eux ça l’était. Boris leva sa fille dans ses bras en riant et en clamant haut et fort que la petite Lara irait loin dans la vie ! Pourtant, une ombre vint assombrir le si charmant tableau. A l’âge de quatre ans, la petite fille était très souvent sujette à des bronchites et pneumonies, elle faisait régulièrement des crises d’asthmes plutôt violentes qui affolaient ses parents. Si bien qu’un jour ils l’amenèrent à l’hôpital où les médecins jugèrent son cas préoccupant. L’angoisse prit les Yjsalna, craignant de voir leur unique fille gravement malade et mourir… Après de nombreux examens, le verdict tomba : emphysème. Le mot sembla affreusement barbare pour Olga et Boris qui regardèrent le médecin sans bien comprendre, qu’est-ce que cela voulait dire ? Que leur fille était condamnée ? Non, juste qu’elle serait un peu différente des autres, qu’elle continuerait d’avoir des problèmes respiratoires, mais qu’elle vivrait. Après l’angoisse, le soulagement, tant qu’on ne venait pas leur ôter le centre de leur univers, Olga et Boris étaient prêts à tout supporter. Malgré cette maladie, Lara grandissait comme les autres fillettes et quand elle entra à l’école c’est avec fierté qu’elle portait son sac à dos. Au fil des années, elle refusa que sa mère la conduise à l’école en voiture et préféra s’y rendre main dans la main avec la petite voisine du même âge, Nina, qu’elle aimait dire être sa meilleure amie. A sept ans, on change régulièrement de meilleure amie. Les deux enfants restaient souvent en été très tard dans la rue à jouer à la marelle et à regarder les rares voitures passer dans la rue. Elles étaient toutes deux rêveuses et elles lisaient les mêmes livres avec la princesse et le prince charmant. Lana était persuadée qu’un jour, elle trouverait son prince charmant, et elle disait cela avec tant de conviction, que personne n’osait la contredire, pas même les grandes personnes.

Un nouvel été, douze années s’étaient écoulées depuis la naissance de Lana et elle était toujours égale à elle-même : un rayon de soleil. Il faisait chaud, très chaud ce soir là. Les voisins étaient venus manger sur la toute nouvelle terrasse des Yjsalna, Nina était de la partie bien évidemment. Mais les deux fillettes s’ennuyaient au milieu de tous ces adultes, alors Lana s’approcha de sa mère avant un regard suppliant pour lui demander l’autorisation d’aller jouer dans le parc à deux pas chez eux. Elle ne put refuser à sa fille, mais demanda à Gregor, le cousin de Lara âgé de dix-sept ans de les accompagner. C’est en courant les fillettes gagnèrent le parc toutes excitées. Lara se jeta d’assaut sur la balançoire et commença à rire quand son amie la poussa. « Plus fort Nina ! Je veux toucher les étoiles ce soir ! » Ses cheveux châtains clairs tressés et ramenés sur sa tête commencèrent à s’échapper de l’étau des pinces et élastiques, elle continuait de rire, il s’envolait dans les airs, mélodieux et léger comme le tintement de clochettes. Puis elle sauta de la balançoire et atterrit sur ses jambes. C’est à ce moment là qu’elle le vit. Il était grand, brun et semblait s’ennuyer. D’un pas dansant elle s’approcha de lui en faisant virevolter sa robe aux imprimés fleuris. « Tu veux jouer avec nous ? » Elle posa sa main sur son bras « C’est toi le chat ! » et s’éloigna en courant. Voyant qu’il ne bougeait pas, elle se retourna et fronça ses sourcils. « Alors tu ne sais pas courir ? Ou alors tu te crois trop grand pour ce genre de choses ? On est grand que si l’on en a envie, tu n’as qu’à décider d’être petit pour un soir ! » Elle disait cela tout naturellement, la vie était simple pour elle. Le posa ses mains sur ses hanches d’enfant et lui tira la langue. Enfin il se leva, et elle sourit.

Elle le retrouva le lendemain, puis le surlendemain ainsi de suite. Elle le traînait un peu partout dans sa ville qu’elle trouvait horriblement moche. Lana lui disait qu’elle voulait aller vivre dans un endroit où tout serait beau, pourquoi pas en Italie ? Ou alors en France ! Elle voulait vivre dans un château avec un grand jardin où elle pourrait courir à en perdre haleine. Elle ne se rendait pas compte que ce qu’elle disait pouvait sembler futile, à douze ans on n’a pas les préoccupations d’un adulte, on vit avec la certitude que nos rêves deviendront un jour ou l’autre réalité. Sans s’en rendre compte, elle tombe amoureuse de ce grand garçon de seize ans qui la suit partout. Mais les rares jours où elle ne le voit pas, Lara devient presque taciturne, elle s’enferme dans son petit monde à elle pour rêver de son prince charmant. Quand elle le retrouve, elle sourit, elle rit, elle est heureuse. Elle n’espère rien, elle n’a peut-être que douze ans elle n’en est pas moins lucide. Puis elle tombe malade, d’abord un simple rhume, rien de bien grave. Mais cela ne s’arrange pas, ça empire. Le rhume devient une grippe et enfin une pneumonie. Elle prend le lit et ne peut bientôt plus en sortir. Elle est dévorée par la fièvre, elle délire, crache ses poumons, mais il vient la voir. Elle le sent quand il est là mais ne peut pas le montrer, son corps ne lui obéit plus. Puis du jour au lendemain, il ne vient plus, elle ne comprend pas. Elle ouvre ses paupières, elle n’est même plus dans sa chambre, où est-elle ? Elle l’ignore. En fait, ses parents l’ont transférée à l’hôpital, mais pas pour longtemps, ils vont quitter le pays pour rejoindre la France. Ce n’est pas d’une pneumonie dont souffre la fillette, mais une tuberculose et la médecine Ukrainienne est trop en retard pour sauver Lana. En France ils feront quelque chose, le voyage est long mais Lana tiendra le coup, il le faut. Olga et Boris vendent la maison, vendent tout ce qu’ils peuvent et partent en France. Là-bas, Lara entre dans un sanatorium où elle sera soignée et où elle guérira. Ses parents veulent qu’elle oublie le grand garçon, elle n’y arrive pas. Alors elle l’enferme dans un coin de son cœur et grandit.

La petite fille grandit, s’épanouit et devient peu à peu une jeune fille. Elle aime la France, la beauté de la langue, la douceur du climat, pour rien au monde elle ne retournerait en Ukraine, à part pour lui. Mais il l’a sûrement oubliée, et elle devrait faire pareil, c’est impossible. Elle correspond avec Nina, sa grande amie, mais après deux années d’échange épistolaire, tout s’arrête. Le temps et la distance a fait son œuvre, plus rien ne l’a rattachée à l’Ukraine, pas même sa famille vu que les parents de ses parents sont morts depuis bien longtemps et que la sœur d’Olga vit en France avec sa famille. Son avenir est ici dans le pays des Lumières et des Droits de l’Homme. Ils vivent dans le sud de la France, près de Nice où le climat est si doux et où la forte présence de la culture italienne imprègne Lana au plus profond d’elle, elle se sent chez elle. Elle rejoint le lycée et brille dans toutes les matières. Elle ne sait pas trop ce qu’elle veut faire plus tard, mais qu’importe, elle a encore le temps. Elle passe un baccalauréat littéraire avec une année d’avance et intègre une faculté d’histoire avant de se rendre compte que ce n’est pas ce qu’elle veut. Elle fait un violent revirement et rentre en médecine. Elle réussit haut la main la première année, puis la deuxième. Elle eut un nouveau désir : rejoindre les Etats Unis pour y étudier. Ses parents hésitent, puis acceptent. Elle envoie ses dossiers aux plus grandes Universités, Yale & Harvard l’acceptent, elle choisit Harvard.

A vingt ans, elle s’envole pour Cambridge des rêves plein la tête. Mais elle galère un peu, car elle ne parle pas bien l’anglais, c’est un handicap qui la gène pour sa troisième année, mais elle s’accroche et redouble d’efforts, prenant des cours d’anglais avec un professeur particulier. Elle y arrivera, elle se le promet. Puis un jour, dans l’un des amphithéâtres, elle croise un regard… Son regard. Elle le reconnait instantanément, son cœur bondit dans sa poitrine à en devenir douloureux, mais lui détourne son regard. L’aurait-il oublié ? Sans doute… Son regard se voile de tristesse. Elle n’ose s’approcher de lui pour lui demander s’il se souvient d’elle, alors elle se fait discrète et l’observe en silence. Elle attend le bon moment…



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Camomille
J'ai dix-huit ans, je suis en fac d'archéologie, j'aime sortir, regarder des films, des séries, les livres. Je serai présente tous les jours environ, sauf si je suis débordée de travail. Ma célébrité est la sublime Anne Marie Van Dijk ; et le code est :Ok byCarlie .



Dernière édition par T. Lara Yjsalna le Mer 18 Jan - 23:38, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 21:31

Bienvenue :)
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 21:33

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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 21:34

Bienvenue parmi nous.
J'ai validé ton code
Bonne chance pour ta fiche.
Si tu as la moindre question pour le staff n'hésite pas à nous contacter « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 236636
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 21:34

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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 21:35

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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 21:38

Bienvenue à toi Very Happy
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 22:05

Merci à vous toutes « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 969244
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyMer 18 Jan - 23:53

Pour ma part tout est bon ! Mais étant un pv, j'attends l'accord d'Estevan pour te valider « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 498259
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyJeu 19 Jan - 2:51

Déjà merci, merci d'avoir prit ma Lara. *0* Et comme je te l'ai dit ta fiche est juste parfaite. Je valide de chez valide « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 43316
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyJeu 19 Jan - 9:30

Bon eh bien avec l'accord d'Estevan j'te valide « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 498259

Validation
Après vérification, je certifie que le membre respecte le nombre de lignes réclamées pour chaque catégorie et tout ce qu'on lui demande.

Ta fiche est à présent validée, tu peux aller recenser ton avatar dans le bottin en faisant attention de bien respecter les codes. Si tu te sens un peu perdu sur le forum il y a également une zone parrainage faite pour t'aider à t'intégrer. La partie annonce est également à voir ! Amuse toi bien parmi nous « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 605115

Fiche validée.
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyJeu 19 Jan - 9:32

Merciiiii « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 43316
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MessageSujet: Re: « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle. » S. De Beauvoir « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir EmptyJeu 19 Jan - 18:19

Bienvenue, Anne Marie « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 664127 « La fatalité triomphe dès que l'on croit en elle.  » S. De Beauvoir 55884
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