"Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler."Alors, pour commencer, je m'appelle Adrian. Pour être exacte c'est Adrian Luke Deywer. Vous voulez une petite explication de mes deux prénoms ? Oui, j'en étais sûr. Alors, Adrian est le prénom du père de ma mère et Luke c'est le prénom de mon parrain. En ce qui concerne les surnoms, vous pouvez m'appeler comme vous voulez; certaines personnes très proches de moi m'appellent par mon deuxième prénom: Luke, donc à vous de choisir. Ensuite et bien j'ai 21 ans et je suis née le 17 mai à Chicago de parents assez.. spéciales.... Je m'explique:
En fait, mes parents m'ont eu tôt (ils avaient chacuns 21 ans) mais ils n'ont jamais voulu me faire adopter pour vivre leur vie, ils ont préférés s'occuper de moi comme des vrais parents.
Bref, je suis donc dans un hôpital de Chicago, ma mère avait pour voisine de chambre, une jeune femme aussi; cette jeune femme a accouché de sa fille en même temps que ma mère. Ma mère est devenue super amie avec l'autre mère, on a enmenagé dans un quartier résidentiel pour être voisins avec cette famille et j'ai grandie au-près de la fille qui est née le même jour que moi, elle s'appelait Judith et elle était comme une soeur, je la considérée comme tel d'ailleurs. Je parle au passé car lorsque que l'on avait 15 ans, ses parents sont morts dans un accident de voiture et elle a été adopté par une famille qui habitait à Cambridge; quand j'ai su qu'elle devait partir la-bas, j'ai été anéantie et c'est à partir du moment où elle est partie que je suis devenue ce garçon que je n'étais pas: critique tout le temps, n'est jamais content, fait peur à tout le monde, ne travail pas, sèche les cours, réponds, sort tout le temps, bois, humilie tout me monde, fait des coups bas aux plus faibles, etc...
En gros, je suis devenu un mauvais garçon mais c'est pour combler le vide que Judith a laissé en moi quand elle a été adoptée.
Bref, revenons à mon histoire.
Après le départs de Judith, j'ai commencé à filer du mauvais côté. Mes parents ont tout fait pour me remettre dans le droit chemin mais rien à faire, je ne les écouté plus. C'est pour ça qu'ils m'ont envoyé dans un internat pensants que ça m'aiderais mais au contraire, ça n'a fait que renforcer mon nouveau moi. Pendant que j'étais à cette internat, je ne travaillais pas sauf pour les cours de psychologies dans lesquels m'avaient inscrits pour essayer de me remettre en gentil garçon; je suis sortie avec un tas de filles, à vrai dire, je sortais avec au moins quatre filles en même temps. Dans ce lycée-internat, j'étais fais une réputation de bad boy. A vrai dire, j'avais de la facilité à avoir des filles autour de moi, c'est vrai, je suis mignon: taille normale, musclé, jolies yeux marrons, jolies cheveux bruns, joli sourire en coin, je m'habille bien.
Voila pourquoi j'ai du succès avec ces demoiselles!
Bref, revenons à nos moutons. Un week-end où je suis rentré de l'internat, mon père m'a annoncé qu'il avait un cancer. C'était la chose de plus à pas entendre, malgré que j’essayais de ne pas faire voir sur j'avais un coeur, je devais quand même en avoir un petit car il m'a annoncé ça, j'ai pleuré devant lui, ce que en général je me refuse de faire devant mes parents.
J'ai alors continué d'être odieux, c'être un mauvais garçon mais avec mes parents et surtout mon père, j'étais presque gentil, je dis bien presque!
Il est mort de cette maudite maladie quand j'avais 18 ans. Après ça, j'ai été très proche, très gentil et tout avec ma mère mais seulement avec ma mère. La mort de mon père m'avait encore plus refermé sur moi même avec les autres, j'étais encore plus mauvais en dehors de ma maison.
A l'age de 20 ans, ma mère a décidée de déménager à Cambridge pour tourner la page de tout ce qu'il s'était passé ces dernières années: la mort de sa meilleure amie qui était la mère de Judith, la mort de son mari qui était mon père... C'est comme ça que je me suis retrouvé encore dans un nouvel environnement. Et de ce nouvel environnement j(avais envie de devenir un bon garçon comme je l'étais, personne ne me connaissait alors je pouvais redevenir celui que j'étais avant mes 15 ans. Mais seulement je me suis fait des amis qui étaient pas très fréquentables et je suis retombé du mauvais côté sauf avec ma mère. Dans ce nouveau groupe dans lequel j'étais maintenant, j'avais trouvé un meilleur ami, il était le seul à savoir qui j'étais car lui aussi avait vécu une enfance difficile.
Un an plus tard, j'étais toujours dans le même groupe mais on avait changé d'univers: on était maintenant à l'université. On a desuite trouvé la confrérie qui nous irait bien: les gamma. Ces gens que l'on appelle bien souvent les rebelles, et bien maintenant c'st nous qui faisions partie de cette confrérie de rebelle. Mais malgré ma confrérie, j'avais décidé de travailler en classe pour devenir psychologue, bien que je séchais de temps en temps, je voulais que ma mère soit fière de moi!
J'étais heureux maintenant quand je me rendis compte que j'étais à Cambridge et que Judith avait été adoptée par une famille de Cambridge. Je développais alors l'idée que j'allais la revoir, elle, la fille toute sage que j'avais connue. C'est alors que je fus surpris de la retrouver sur le campus entrain de chercher la confrérie dans laquelle elle entrerait. Elle entrait dans la même confrérie que moi, elle avait donc changé, comme moi...