Je n’ai jamais été un model de sagesse et cela ne me dérange pas. En effet comme tout le monde j’ai mes défauts et mes qualités. Je ne suis pas une personne extraordinaire, je n’ai pas de pouvoirs magiques, ni de capacités sortant du commun, je suis une fille commune a toutes les autres. Mon jugement me concernant n’est jamais vraiment neutre. En effet, on voit toujours plus ces défauts que ces qualités. On se voit aussi toujours plus moche que ce que l’on ait, on se croit toujours plus fort ou plus faible que ce qu’il en est réellement.
Cependant la vie est toujours la pour vous rattraper et pour vous montrer ce que vous n’êtes pas. Je commencerais donc par la.

Je ne suis pas une garce loin de la. Certes chez toute femme se cache une partie de méchanceté, mais la mienne ne se tourne pas vers cette direction.
Je ne suis pas non plus une fille facile. Pour vous dire vraie, je n’ai encore jamais couché avec un mec bien qu’ils m’attirent énormément. Je le précise au cas ou vous pensiez que j’aime les filles. Dans le monde du mannequina cela peut vous faire préjudice. C’est d’ailleurs pour cela que je suis si mystérieuse. Si les gens apprenaient mon passé, je crois que ma carrière arriverait à sa fin.

En parlant de mannequina, n ‘allez pas croire que je suis quelqu’un de superficielle. Certes, au travail je le suis quand même un peu mais en dehors, j’évite. Je ne trouve que ce cacher derrière de fausse apparence revient à fuir sa vraie nature. C’est ne pas accepter ce que vous êtes. Ce qui est stupide car la nature vous a donné ce qu’elle pouvait et par la suite c’est à vous de vous adapter.

Enfin passons ces détails car a vraie dire, ils ne sont pas très intéressants. Je vais maintenant en venir sur ce que je suis.

Je suis une fille plutôt impulsive et très têtue. Peut être un peu capricieuse aussi. Ce que j’aime dans la vie, c’est d’être libre et d’aller la ou je l’ai décidé. Si on s’oppose à moi, on en assume les conséquences, car je n’ai pas de pitié. Je suis prête a tout pour arriver à mes fins. De même si vous touchez à mes amies. Vous devez le savoir, les ennemies de mes amies sont mes ennemies. Têtue j’ai dis, en effet quand j’ai décidé quelque chose, je me bats jusqu'à atteindre mon but et même si je dois faire le mal pour sa. Prête à tout, oui c’est assez vrai. D’ailleurs je vais vous livrer quelques petits secrets. Lorsque j’ai décidé de m’en prendre à quelqu’un j’essaye généralement de récolter le plus d’information possible a son sujet avant de l’attaquer ( je suis une curieuse, j’adore fourrer mon petit bout de nez la ou normalement il ne devrait pas y être) et surtout j’essaye de brouiller les pistes quand je passe à l’acte. L’argent ne me manque pas, alors pourquoi ne pas l’utiliser à des fins utiles plutôt que de le jeter par les fenêtres. Ne me croyez pas bête, je suis réfléchie alors j’assure mes arrière avant de me battre. En cas d’échec au moins la chute en est moins haute et donc moins douloureuse. Mais que suis je bête, pourquoi parler d’échec? Pour moi, dans la vie il n’y a pas d’échec, il n’y a que des réussites. Chaque échec est un plus car c’est avant tout un apprentissage.
Pour conclure ce paragraphe et surtout pour vous faire bien comprendre qui je suis derrière ce visage d’ange, je vous laisse vous imaginez la scène du chat jouant avec sa souris avant de la manger, le chat étant moi bien sur.

Méfiante, j’ai beaucoup de mal à me lier d’amitié avec les autres. En effet je préfère toujours garder une certaine distance afin de pouvoir en cas de malheur, sortir sain et sauf. Cela explique donc tous les mystères qui m’entourent. En ce monde peut de personne me connaissent réellement et encore moins, connaissent mon passé. C’est un rare privilège. Pour cela vous devez faire vos preuves, et surtout avoir un potentiel, un caractère intéressant à exploiter.

Plus j’avance dans ma présentation et plus j’ai l’impression d’être une sorcière mais aussi et surtout d’être une personne que je dis ne pas être. Pourtant ce n’est pas le cas.
En réalité je suis plutôt quelqu’un de mature, d’intelligente et de sympathique. Je sourie, rigole, fait un peu la folle, sorts avec des tas d’amies, des amies qui ne sont que des camarades, des personnes en qui je ne fais pas confiance. Ils me servent tout simplement de carapace, simple moyen pour ne pas être atteinte une fois de plus.

Voilà le fin mot de l’histoire : en public, je suis joviale et souriante, seule chez moi, je suis triste, démoniaque et essaye de faire le mal autours de moi tout comme mon père a pus m’en faire dans le passé

Mannequin, vous devez vous en doutez, j'ai un physique qui ne laisse personne indifférent. Pour les uns, je suis une figure de beauté, pour d’autre je suis une figure peu enviable (trop maigre, trop belle, trop superficielle et oui sa énerve) Mais le plus important c’est comment je me vois. Et pour dire vraie, je n’aime pas trop mon corps. Je m’en sers, j’apprends à l’aimer, j’apprends à être celle que j’aimerais mais sans grande conviction pour l’instant. En effet j’envie toutes ces jeunes filles qui sont libres de manger, de boire ce qu’elle désire. En tant que mannequin, je n’ai pas toujours le choix. Nourriture saine, eau, sport, ma vie n’est que contrainte.
Cependant, il y aussi quelque avantages car ce corps que je n’aimer pas, je lui accorde pourtant beaucoup de soins. Traité par des professionnel, j’ai rendez vous une fois pas semaine chez l’esthéticienne et chez dans un centre de soins. Massage, bains de boue, heureusement que tous ces soins me sont payer car j’en aurais sinon vraiment pour très chère. Dans tous les cas tous ces soins apportent à ma peau douceur et légèreté.
Grande, fine, j’ai une peau de poupée de porcelaine, des lèvres rouges et pulpeuses, que si j’avais été brune on n’aurait confondus avec blanche neige.
Malheureusement ou heureusement je suis une blonde aux yeux bleu, ce qui en fait craquer plus d’un. Il me suffit de mordiller ma lèvres supérieurs, un petit clin d’œil, une main dans les chevaux ou autres petits geste et ils tombent a mes pieds. Je rigole bien sur. C’est vraie il m’arrive d’utiliser ce physique mais je n’aime pas. C’est trop facile et cela vous attire des ennuies. On vous aime pour votre beauté, pour votre argent mais pas pour ce que vous êtes, voila pourquoi je n’aime pas ce corps. En plus il ne me permet pas de passer inaperçus ni même de courir vite ou autres détails futile mais pratique.
Vestimentairement je suis assez facile. Classique, sexy mais jamais vulgaire. J'aime particulièrement les jeans alors ne vous attendez pas a me voir souvent en jupe. J'aime aussi soigné mon decoletté, et parfois si mon humeur et bonne laissé entrevoir un bout de mon tatouage que j'ai sur l'homoplate droite. C'est un fée sur un cheval. Le second est un drageon et le mot espoir que j'ai en bas du dos.

Ne vous a ton jamais dis que L’homme est un loup pour l’homme ? Eh bien je vais m’en charges dans ce cas la car mon histoire repose sur ce concept. Je ne vous dis pas que ma famille est méchante loin de la, ou du moins en ce qui concerne ma mère. Pour mon père c’est une autres histoire et d’ailleurs pour être franche avec vous, je ne me rappelle pas de lui tant il nous a fait de mal. Les médecins disent que mon passé était si sombre que mon cerveaux bloque ces souvenirs monstrueux. On n’a beau me raconter mon histoire rien ne me reviens et j’en suis contente. Vous comprendre pourquoi.

-Hier soir Monsieur Molke fut retrouvé mort après avoir été poignardé six fois par sa fille. Cette histoire sombre commence plusieurs années en arrière. La famille de Monsieur Molke possédaient une très grande entreprise famille jusqu‘au jour ou celle-ci s’effondra et tout son royaume avec. La fortune des Molke s’élevait à des milliards d’euros perdus dans une affaire encore à ces jours peu clairs. Cependant cette perte entraina un vrai drame familial. Monsieur Molke fils sombra dans l’alcool et le trafic de drogue. Sa fortune se reconstruisit alors sur ces affaires illégales lorsqu’il se fit prendre, arrêtés et emprisonnées. Des années plus tard ressortis de prison, sa femme l’attend. Cependant celui-ci la soupçonne de l’avoir dénoncé et se venge alors sur elle, la séquestrant et la battant. Quelques mois plus tard, un médecin est soudoyé pour venir faire accoucher la jeune femme. L’enfant vis alors dans une ambiance familiale détruite. Toutes jeunes celle-ci ne comprends la situation mais voit que sa mère souffre. En grandissant, la petite Séverina fuit cet homme, apprends à le craindre et surtout a ne jamais intervenir. D’après les rapports des médecins, l’homme a aussi porté la main sur l’enfant ce qui pourrait expliquer cette accumulation de colère et son acte a un si jeune âge. Elle porta 6 coups, mais aujourd’hui prise en main par des services spécialisés et sous protection, on peut dire que la petite fille ne représente un danger potentiel. Son acte n’est que purement défensif. Cependant il nous est impossible de vous donner la version de celle-ci. Craintive, elle est renfermée sur elle-même et prise de terrible crise de panique.

Quand je relis cet article, je me demande toujours si les media n’abusent pas un peu trop. Ai-je vraiment porté six coups de couteau à un homme ? Suis-je vraiment capable de faire autant de mal ? Aujourd’hui j’ai du mal à le croire, après tout c’est normal et rassurant. Car si à 6 ans j’ai été capable de tuer un homme qu’aurais je pus faire d’autre si je n’avais pas été soigné ? Je ne préfère même pas me l’imaginer. C’est vraie que c’est un coup dure pour une gamine de 6 ans d’être interné, on est encore trop petite à cette âge pour comprendre que ce que font les adultes c’est pour notre bien. Mais quand on y pense cela était le mieux pour moi et aujourd’hui je vais beaucoup mieux. Je veux dire que j’ai été suivis par des médecins, des psychologues, j’ai pus aussi grandir dans un environnement plus sains et a cette époque j’en avais besoins. A mon arrivé j’étais constamment emportée par des crises de paniques, la nuit je n’arrivais pas à dormir constamment réveillée par des cauchemars, se fut une période vraiment très dure. Etre si faible à ce point est inconcevable. Je ne dormais, ne mangeais plus, parlais plus. Les médecins ont vraiment eut peur au début et puis avec le temps ça c’est amélioré. C’est d’ailleurs à mes 9 ans que j’ai revus ma mère et que l’on m’a offert la possibilité de sortir. J’allais enfin pouvoir retrouver une vie normale. Certes j’avais peur du monde qui n’attendait dehors, mais au final on se rend compte que ce n’est pas si terrible que sa et très vite on s’y habitue. On y prend gout. Quoi de mieux que de pouvoir vivre avec d’autre enfants dans un environnement des plus normale. Le monde a sa pars de violence mais aussi sa pars de douceur. Le seul problème était que je craignais les hommes au point que lorsque l’un d’eux s’approchait de moi je piquais une terrible crise, me recroquevillais comme pour me protéger des coups que j’allais recevoir. Ma mère avait du mal à vivre cette situation, je la comprends. En plus de ce problème, il y avait les cauchemars la nuit, ou j’étais prise par de violente secousse, puis d’autres inconvénients, et règles stricte à suivre qui était dans la continuité de mon traitement. Chaque semaine j’allais voir une psychologue, nous parlions des événements de la semaine, des cauchemars, de moi …. Nous remarquions avec maman que cela me fit du bien. Pouvoir parler du passé, des choses qui me font peur me permettait de les évacuer. Je ne gardais rien pour moi ce qui m’évitais bien des grands mots. A l’adolescence sa a donc finis par se calmer et c’est donc à ce moment que ma vie commença réellement. Je me rappellerais d’ailleurs toujours l’année de mes 14 ans ou je fus remarquée et entra donc dans le monde de la publicité en premier lieu mais aussi en tant que model pour des habits d’enfants. Au début pas très passionné, je continuais ce métier car cela plaisait a ma mère. Je voulais après tous ces moments difficiles la faire enfin sourire et la rendre fière de moi. Elle voyait en ces contrats un grand pas en avant, je ne voulais la décevoir. Puis avec les années qui passaient j’ai appris à aimer le métier et à prendre plaisir à défiler. Cependant j’essaye de ne pas prendre la grosse tête même si j’apprécie d’être reconnue. Mon passé n’est pas reluisant et si on l’apprenait se pourrait très vite être la fin de ma carrière. C’est pour sa que je ne porte pas le nom de mon père mais de ma mère. Au moins avec sa je suis tranquille et les gens ne vienne me poser des questions. De toute manière je ne peux leur répondre, je n’ai plus de souvenir. Enfin grâce a cela j’ai pas mal voyagé, découverts des personnalités, des cultures intéressante. Accompagné de mes études, je me formais un esprit vif et complet qui me vaut l’honneur d’intégrer Harvard dans peu de temps. Oui je n’ai que 16 et j’ai eus un passé difficile qui me rends fragile, mais j’ai aussi et surtout eus un parcours accomplis qui me bonne beaucoup de bonheur.
Mon futur ? Je ne m’attends à rien de particulier. J’essaye juste d’avancer avec mes qualités, mes défauts, mes connaissances, mon passé et tout le reste. Il ya des jours plus difficile que d’autres mais le plus important dans tout sa c’est que je suis accompagné, épaules par des ami(e)s de confiance.