J’entrais dans cette pièce. Un endroit neutre qui devait certainement nous apporter le réconfort et la force de livrer son histoire. Le problème ? C’est que moi je n’allais pas raconter mon histoire. Pas la mienne. La mienne devait rester secrète tout comme mon ce que j’étais. Je pouvais le montrer rarement. Je devais d’abord effectuer mon travail. Compliqué? Oui, mais j’étais assez fort et battant pour me débrouiller, enfin je n’étais pas seul. Jennah était là. Elle est un peu tout pour moi, une collègue , une amie et maintenant une sœur et aussi quelqu’un avec qui je passe du bon temps. Je m’installais face à ces personnes qui devait étudier mon cas et savoir si ils allaient pouvoir me laisser étudier dans cette université qu’est Havard. Mon histoire n’est pas aussi compliqué que l’est celle de mon personnage. Je me fais certaine fois peur avec Hudson. Mais, je le vis assez bien. Il était maintenant temps que je parle et que je me livre en répondant à leurs questions mais une seule question me fût proposer , enfin cela était loin d'être une question ,mais plutôt une demande. Raconter sa vie, j'entrais dans Husdon laissant sans doute à jamais celui que j'étais ailleurs. Je restais la face à cette feuille blanche que je devais remplir sans avoir peur.

La vie. On a beau tout se rappeler que ce n’est que la vie, que l’on maîtrise rien , on souffre et on se tait. On a chacun notre façon de réagir face aux événement que les destins met dans notre vie comme pour nous empêcher de grandir , d’avancer et encore plus de réaliser ce que l’on veut. En grandissant je me dis de plus en plus qu’en faites le destin ne décide de rien , les seules étant maîtres de nos de vis ce sont nous ,et certainement l’amour et l’amitié. Pour l’amour je pourrais sans doute pas approuver, je n’en connais rien mise à part le plaisir charnel. Enfin , mais le plus important restera l’amitié et l’amour qu’on peut porter à notre famille ou à quiconque qui change notre vie.

Certains passage de ma vie m’ont marqué que ce soit ceux que je me rappel ou ceux qui me sont compté. On voit les choses différemment les laissant venir à nous essayant de nous approprier chacun des petits détails qui nous a été raconté. Je n’ai guère le choix pour ma part de ne pas me souvenir de ma naissance , de mon enfance, vous me diriez que personne ne s’en souvient . C’est certains ,mais ce qui est sûr c’est qui a sans cesse quelqu’un pour vous expliquer comment était les choses , un parent, les deux ou la famille. Moi, j’avais mes parents. Je les avais et je les ai toujours. Mais, certainement que je ne voulais pas d’eux comme beaucoup d’entre nous qui ne voudrais pas vivre ou avoir vécu ce que j’ai pu subir depuis toujours. Une enfance chaotique. Entre drogue et enfer. Voila, où j’ai grandi , je devais m’épanouir dans des endroits sordide.

Une naissance qui n’avait pas été prévu. Surtout , je n’étais pas le fils de mon père. Bien sur que non. Le monde de la drogue , il n’y a pas que les seringues qui tourne mais aussi les femmes. Sans doutes horrible à penser, mais moi je ne peux m’en empêcher , imaginer cela à ma façon , et essayer ou plutôt tout faire pour ne jamais être comme l’un de mes géniteurs. Ils n’était pas maman, ou papa. Non, pour moi , ils n’étaient que des personnes inutiles , je suis dur , et je veux l’être mais au fond ,mais propre pensées et mots m’éclate en pleine figure. Vouloir haïr c’est plus simple à dire qu’à faire, vouloir détruire aussi , tant de choses sont simple à dire ,mais si difficile à faire en réalité. Même l’amour , rentre dans cette casse pour moi. Aimer , dire je t’aime c’est facile, je le dis même à mon chien, alors pourquoi pas à une fille pour voir ses yeux briller de mille feux ? Des mots simples certainement ,mais des mots qui font mal à ceux qui les reçois alors que ce n’est pas de l’amour que la personne ressent ,mais juste l’envie d’être bien. Je ne serais jamais dire ce qu’est l’amour , un jour peut être ,mais je suis pas pressée de connaître, car même les gangs , les mafias , les guerres ne détruise l’homme aussi facilement que l’amour .

Je m’éloigne comme à mon habitude des choses que je dois faire. J’en ai pris l’habitude quand je ne veux pas raconter ou encore quand je ne sais quoi dire. Il faut dire que j’ai eu le temps pour apprendre à mentir et à cacher la vérité. Me protéger certainement , mais pas seulement , la défense est bien présente , mais la vengeance est aussi ici. J’ai surtout cette rage qui m’envahi sans cesse quand je les vois eux c’est briseurs de vie. Laissons cela pour la fin de mon histoire.

Je suis l’enfant de la dass ,l’enfant d’un pére et d’une mére trop préoccupé par leurs doses et leurs manque pour me voir : grandir , évolué et disparaître. J’ai été élevé par toutes sortes de personnes, prendre le meilleur et m’en sortir? Qui fait ce genre de chose? Les bonnes personnes sans doute. J’en fais parti ,mais à ma manière. Beaucoup serait détruit d’avoir eu aucun amour pendant son enfance ,mais pas moi. Plus fort , malin et déterminé? Non ,je ne sais pas comment j’ai vraiment fait pour survivre, qui sait peut être qu’en faites je ne suis pas réellement en vie. Je suis bel et bien là devant vous. Mais, mes émotions ,mes souvenirs ce qui devrait faire ce que je suis , je n’en prends pas soin laissant le temps enfouir cela au plus profond de moi. On le dit sans cesse que cela est mauvais pour ce que je suis , mais c’est ainsi. Je suis tout simplement fière d’être moi. Survivre fasse à la mort , j’ai aimé , j’en suis même ravi , au point de me dire que je préfère que ce soit lui que moi. Lui. J’arrive à le dire à haute voix, qui ose faire ce genre de chose. Je devrais le remercier et non pas remercier un Dieu qui n’existe pas. Vous m’avez perdu dans votre silence, depuis quand je parle, depuis quand je laisse tout ça découler de moi. Je devrais tout simplement fermer ma bouche et rester là face à vous les lèvres closes. Vous voyez dix minute , je tiens pas plus longtemps sans rien dire. Je change ?

Pouvons nous nous arrêter là ?.J'attendais une réponse que j'eu d'un simple mouvement de tête. Je me levais enfin. Je m’étirais tranquillement en regardant par la fenêtre , je voyais déambuler les personnes ou plutôt les élèves de cette université. Je ne devais pas perdre le fil de mon mensonge. Oui, du mensonge. Je mentais, mieux qu'un arracheur de dents j'avais eu le temps d'apprendre à le faire. Je suis devenu plus fort que mes mentors , j'étais devenu une personne fiable. Je ne devais pas perdre ma tête de mec paumé, non j'étais ce jeune homme ayant vécu une vie plus que horrible, mais en réalité , j'étais loin de tout ça. Je me donnais un genre , le genre qu'on m'avait imposé. Je regardais la conseillère ensuite la psychologue. J'étais loin d'être fou ,je ne suis pas skyzophrène ou atteint de l'une de ces maladies connu de tous. Non , je suis bien plus compliqué. Je devais me réinstaller. Allais-je vraiment supporter ceci? Être un élève parmi les autres ? Alors que je n'étais qu'un simple agent du FBI qui venait de perdre pas mal de chose et qui avait traversé plus d'une galère dans sa vie ? Sans doute, j'avais pas vraiment le choix. Je devais , c'était mon devoir. Je regardais droit dans les yeux ces personne face à moi , laissant rien paraître. Ah quoi bon l'histoire de Hudson et de sa soeur était compliqué alors je laissais le mensonge se mettre en place petit à petit.

J'ai beau être détaché de tout ça , que ce soit de là dass ou de mes parents , je vais bien , je me portes bien tant que ma soeur se porte bien. Elle est tout pour moi. Nous avons les mêmes gênes , ou plutôt les gênes de notre mère. Vu que nous avons pas le même géniteur. Enfin , je vois pas que vous dire de plus. Je suis pas brillant, je suis pas superbe , mais je veux réussir quoi qu'il puisse arriver. Je suis sans doute pas l'un des élèves que vous allez être fière ou encore le vouloir comme chef de promo. Mais, je m'en fiche ce que je veux c'est avoir une vie normal, calme et paisible. A vous de faire votre choix j'ai envie de dire. Je ne peux pas dire quoi que ce soit de plus. Je ne sais même pas ce que Jennah pense de tout ça. Enfin, passons, vous voulez savoir autre chose sur ma vie ? Mon passée ? Car , raconter sa vie sans avoir plus de détail sur cette question n'est pas réellement simple.

Je restais là , immobile face à ces personnes. Je retrouvais un trac certains que j'avais pu avoir plus jeune . Ce trac était d'autant plus bizarre que je ne parlais pas , et que je ne faisais que libre une histoire comme je le faisais quand on me le demandais en littérature . Comment m'étais je retrouvé dans cette vie ? Je dirige pas vraiment ma vie comparé à Hudson. Moi , Davis. Davis est mon patrimoine. Je suis le fils de personne bien et intégré dans la communauté américaine. Je n'ai jamais connu la dass. je n'ai connu que mon petit royaume qu'est Atlanta. Vivre deux vie ,c'est plus que difficile. Je suis différent du jeune homme que je campe ,ou que je joue. Je suis pour l'amour. Mais, lui ne préfère que jouer, il n'aime rien , même lui.


Suis- je si différent ? Sans doute. J’aime m’amuser avec les filles comme n’importe qu’elle mec , mais je crois en l’amour comparé à lui. Je me devais d’oublier ma vie , ce qui m’avais fait devenir ce que j’étais. Mais comment arrêter de penser à tout ça ? De vivre sans même penser à ce qui m’avait guidé ici. Je n’avais que treize ans quand tout changea. Ma vie était devenu chaotique en peu de temps. Il faut dire que ma famille était entrain de traverser un moment à vide. Je suis le seul garçon qu’on eut mes parents. J’ai deux grande sœur et une petite. J’ai toujours étais proche d’elles. On était une famille uni même si en quelque jours avant même que je leurs soient enlevé. Je suis mort pour eux. Ils m’aimaient encore, ils ont juste dû m’enterrer , ou du moins croie m’avoir enterré. Ma vie n’est pas facile à vivre ,mais si difficile à raconter ou à expliquer, heureusement que pour l’instant je devais jouer Hudson et non Davis Junior qui n’est m’aime pas mon nom de naissance.

J’ai été Jordan Horson à ma naissance. J’ai grandi dans une famille uni et forte. L’argent ne faisaient rien à notre bonheur , ce dernier était juste un complément. Me souvenir de ça me faisait rire. J’aimais ce passage de ma vie mon enfance en quelque sorte. J’étais un enfant qui aimait bouger , s’amuser et encore plus emmerder mes sœurs. C’est lorsque j’avais neuf que j’ai appris que ma petite sœur avait une leucémie. On m’avait expliqué ce que cela voulait dire, et j’aimais pas réellement cette chose qui était en ma sœur? Mais, je ne comprenais pas qu’elle allait certainement nous quitter. Trop jeune. J’ai eu une enfance normal en faites. Même si il n’y a pas vraiment de normalité dans la vie quoi qu’on en dise. Puis à l’âge de douze ans ,ma vie changea , mon père fut embarqué et mis en prison ,enfin façon de parler. Il avait ex croqué beaucoup de monde. Ma mére du travaillait plus dure pour payer de la nourriture vu que tout nos compte avait été gelée le temps de l’enquête. Mes sœurs qui était âgé de seize ans et dix neuf ans faisait tout pour l’aider et surtout aider à payer le traitement très cher de ma petite sœur. Je vendais des limonades moi, ridicule , mais assez mignon. Oui, je me trouve mignon. Enfin. Mes sœur était douée de leurs mains l’une fabriqué des crèmes naturel à base de fleur et elle les a fait connaître grâce à mon autre sœur. Une famille en or et douée. C’est sur que cette dernière me manque, mais j’ai appris à faire avec. Ensuite, je ne sais pas ce qu’il à pu se passer pour ma famille ,car moi j’ai disparu.

Pourquoi avoir disparu? Ce n’était pas réellement un choix ,mais plutôt une obligation. Protéger et se protéger. J’étais bien entouré par les hommes du FBI. Dans cette histoire je n’étais pas seule , il y avait Jennah, son nouveau nom pour notre nouvelle mission. On n’avait douze ans et treize ans , j’étais son nouveau petit voisin depuis qu’on avait perdu notre richesse. Elle et sa famille nous avait accueilli bien volontiers parmi eux. Un jour en rentrant des cours nous avons voulu acheter des friandises . Des friandises qui nous auront coûté cher en sachant qu’on ne les avaient même pas eus. On était devant une boutique celle qui était sur le trottoir d’en face de la confiserie. On allait traverser , mais nous étions resté figé en entendant tout ce bruit et ces cris. Lorsque je vu deux homme prendre une petite fille de notre âge. On n’avait pas bougé laissant la voiture s’en aller en furie ailleurs. Je m’avançais en traversant la route sans regarder autour de moi comme je l’avais toujours fait ,la main de Jennah venait de se blottir dans la mienne ,et la on vu du sang partout, des murs au plafond. Je fermais les yeux serrant Jennah contre moi. Je me sentis emmener par derrière , j’ouvris les yeux apeuré en voyant un policier m’attraper et m’éloignant de cette scène horrible à voir des personnes ,des enfants morts et une autre kidnappé.

Je me rappel encore toutes les questions auquel j’avais du répondre. On avait été bousculé gentiment pour être sur qu’on n’ose tout leurs dire. Au fond , maintenant je sais ce qu’ils essayaient de faire. Nous protéger et éviter de nous faire dire la vérité , qu’on avait vu les visages des tueurs et des kidnappeurs six hommes. Nous étions de jeune témoins. Ëtre témoins veux bien sur dire que nous risquons beaucoup de chose. Notre vie et celle de nos proche. Mais, à treize et douze ans cela on le comprend que très peu , nous avons juste peur imaginant encore et encore ce que devait vivre celle qui était avec ces monstres. Nous avons était placé sous surveillance jusqu’au procès ou tout devait finir par s’arrêter. Mais, non. J’avais encore mes treize ans et je n’allais pas tarder à fêter mes quatorze ans. Mais, le procès qui devait nous délivrer rendu les choses bien plus embêtant pour tout le monde. Notre témoignage d’enfant à été rejeté et a été détruit par l’avocat des personnes accusé. Nous étions malmenée par cet avocat. Nous avions perdu. Nous avons du changer d’identité , Jennah et moi somme devenu d’autre personne , comme un jeu , mais un jeu qui nous prend au tripe. On nous apprend pas à mentir , bien au contraire et pourtant cela nous aide en tout point que ce soit pour de bonne ou mauvaise chose. Nous étions devenu frère et sœur , nous étions pas encore les hudson. Non , nous étions les Mackenzies. J’étais passé de Davis à Mackenzie , je devais m’approprier une nouvelle vie , un nouveau passé et surtout un nouveau patrimoine . Je devais oublier ma vie d’avant.

Récupérer ma vie d’avant? C’était impossible. Je ne sais toujours pas où se trouve ma vrai famille ,elle a vraiment disparu. Même moi étant un agant du fbi je ne savais rien, pour éviter de faire une bourde. Nous avons grandit en frère et sœur mais arrivé un moment nous savons ce que nous étions l’un pour l’autre pas de lien fraternel , de l’amitié une amitié transformé en envie sexuel rien d’autre. Nous partageons notre lit pour le plaisir de l’autre réservant notre cœur aux autres . J’ai pris le nom de Hudson pour me faire passer pour le fils du patron de la mafia qui nous a fait vivre tout ça. Nous somme trop impliqué au dire de certains. C’est certainement vrai ,car c’est notre vie qui est devenu compliqué, on a eu deux famille , celle dans laquelle nous sommes arrivé et celle qu’on nous a fabriqué. Maintenant , je suis devenu le fils de mafieux , pour faire en sorte qu’on me croit , je suis prêt à tout même au pire, tuer? Je l’ai déjà fait pour me défendre. Je suis sous couverture. Je dois être un étudiant et un parfait fils pour remplacer mon père ce mafieux. Je ne suis pas au commande , ça serait bien trop facile , on se méfie encore de nous mais pas pour longtemps ,nous sommes fort au petit jeu du mensonge , nous allons gagner , pour réussir, même si je sais que Jennah n’a aucune envie que cela s’arrête pour retrouver sa famille. Tant pis , on y arrivera même si je dois faire ce « on ».

Je sortais enfin de cette salle. Je pouvais respirer déposer mes yeux sur ces étudiants qui pour certains avait mon âge. J’ai vingt quatre ans dans toute mes vies. Je veux faire tomber les gens qui ont ruiné notre vie. Je serais sans cesse prêt à tout pour réduire ces mafieux et n’importe qu’elle avocat n’arrivera plus à me faire peur , au point d’espérer oublier ce que j’ai vu.