Sujet: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mar 22 Mar - 21:45
Andreas Sebastian Fogarty
They always want to make it beautiful
CARACTÈRE « il vaut mieux être moins et être ce qu'on est »
Andreas est avant tout quelqu'un de réservé. Il l'a toujours été, passant de la timidité enfantine à la réserve d'un adolescent qui se protège, jusqu'à ce qu'il devienne ce jeune homme renfermé qui a connu les pires horreurs d'une guerre qui n'aurait jamais du avoir lieu. Il est d'un naturel calme, même si ce jeune homme réfléchi aime aussi faire la fête et s'abandonner à la débauche. En riant, avec bien plus de désespoir que s'il en pleurait. Solitaire, il ne cache pas son amour pour le silence et le calme, et même avec ses amis il n'est pas du genre à se confier durant des heures sur sa personne, son histoire, ses ressentis. Il est une oreille attentive pour ceux qui veulent se confier à lui, et visiblement c'est une de ses principales qualités d'ami, que d'écouter les déboires des autres. À vrai dire, c'est surtout une manière de faire taire les siens, l'espace d'un instant. Mais c'est comme ça, Andy est mystérieux, et pour savoir ce qu'il pense il faut vraiment venir lui tirer les vers du nez, sinon niet ! C'est également un jeune homme indépendant, il n'a besoin de personne, du moins c'est ce qu'il estime. Débrouillard, il sait bien se retourner selon les situations. L'amour ? Ne lui en parlez pas. Certes, il est d'un naturel séducteur avec les filles. Bien qu'en vérité, avec celles qui lui plaisent vraiment, il a surtout tendance à se renfermer et à ne rien tenter. Il a bel et bien connu son premier amour, très tôt, et il en est ressorti tellement détruit qu'il n'a plus jamais voulu en attendre parler depuis. Andreas a une force de caractère impressionnante, et s'il décide de quelque chose, alors il en est ainsi et pas autrement. Il peut se montrer très têtu en toutes circonstances, voire manipulateur pour arriver à ses fins. Et même s'il ne voudra jamais se l'avouer, il est assez instable, et encore plus depuis qu'il est rentré d'Irak. Ses humeurs sont changeantes et le pire c'est que ses interlocuteurs ne se rendent que très rarement compte du joyeux bordel qu'il se passe dans sa tête, et sont alors choqués de le voir, d'abord calme et posé comme une pierre, puis tout à coup s'énerver sur tout et rien, jusqu'à devenir véritablement violent. Mais heureusement pour ceux qui le fréquentent souvent, c'est très rare, en général Andreas est maître de son tempérament.
PHYSIQUE « il fut un temps où le physique ne comptait pas »
A le voir au détour d'une ruelle, on ne dirait pas qu'Andreas a fait la guerre, il n'est pas de ce genre de types tout en muscles qui démontrent leur force. Il est assez grand certes, mais plutôt élancé, même si l'on devine la forme de ses muscles sur ses bras. A son retour d'Irak, il rentre affaibli et bien plus maigre qu'il ne l'avait jamais été, mais il a repris un peu de poids depuis. Son style vestimentaire est assez simple, chemises ou tee shirts, jeans, baskets, et son éternelle veste en cuir noire, qui ne le quitte jamais. Ses cheveux bruns sont mi-longs et ont tendance à n'en faire qu'à leur tête, et Andreas les laisse faire joyeusement, n'étant pas tellement du genre à passer des heures devant un miroir. Son visage est lisse, fin, et son sourire à fossettes fait craquer toutes les filles. Parfois il laisse une petite moustache ou une jeune barbe éparse, mais la plupart du temps, il a la peau finement rasée. Une vraie gueule de premier de la classe ; comme quoi il ne faut jamais se fier aux apparences. Mais lorsque l'on se penche vers ses yeux, on ne peut pas ignorer ce voile qui recouvre des yeux marrons qui ont perdus leur éclat. C'est la marque de la guerre. La marque au fer rouge d'avoir tué des gens – non des soldats non non pas des gens, des soldats – et d'avoir vu mourir sous ses yeux de nombreux amis. Et tant d'autres choses, tant d'autres choses indicibles, qu'il a pourtant tatoué sur son poignet en lettres sobres, noires, ternes : « Fire, walk with me. » Il ne porte pas de piercings, bien qu'il en ait eu un à l'arcade sourcilière droite quand il était adolescent.
HISTOIRE « on a tous quelque chose à raconter qui intéresse les autres »
Andreas est né et a grandi à Chicago, d'un père américain et d'une mère mexicaine, tous deux ouvriers dans une usine de textiles. Il est l'aîné de la famille, son petit frère Samuel ayant trois ans de moins que lui. Les parents travaillaient du lever du soleil jusqu'à bien plus tard que son coucher, et laissaient les enfants à la crèche, n'ayant pas de quoi se payer une nourrice. Mais Andreas ne s'est jamais plaint de son mode de vie modeste, lui et son frère mangeaient à leur faim, avaient des vêtements propres et suivaient une éducation normale, alors il n'y a jamais eu lieu de se plaindre. Ses conditions de vie lui ont permis de comprendre très rapidement la valeur de l'argent, contrairement à ses fils et filles de bourges qu'il croisait à l'école et qu'il avait du mal à supporter, parfois. Enfant plutôt renfermé, Andreas n'a jamais été un bon élève. Incapable de se concentrer sur quelque chose pendant plus d'un quart d'heure. Impossible de tenir en place. Pourtant il est plutôt intelligent mais voilà, il comprend très tôt que l'école, ce n'est pas fait pour lui. Ses parents ne sont pas de cet avis, espérant pour leur fils un meilleur avenir, et firent tout de même en sorte qu'il s'accroche dès la primaire. Parfois turbulent, il eut quelques problèmes avec des petits camarades qu'il n'arrivait pas à voir en peinture, et avec qui il se battait avec réjouissance, mais rien de bien trop méchant. Il fit sa plus grosse bêtise à l'âge de douze ans, entrainant son jeune frère avec lui. Il avait entendu sa mère au téléphone qui se plaignait auprès d'une amie, parce qu'elle craignait de ne pas pouvoir payer le loyer ce mois-ci. Ce satané loyer. 733 euros, il avait entendu. Alors il avait pris le pistolet que son père gardait – pas si bien – caché dans la commode. Il prit soin d'enlever les balles pour ne blesser personne. Puis lui et Samuel allèrent donc faire un hold-up à la banque du coin. Andreas se souvient surtout du poids du pistolet dans sa main, qui lui semblait pourtant si naturel de porter. Bien sûr, ils n'étaient pas allés bien loin, mais ils avaient tout de même eus les billets. Les policiers n'avaient pas tardé à les retrouver et pour la première fois le petit garçon comprit ce qui voulait dire le mot « bavure », du moins jusqu'à ce que sa mère arrive. Ils ne furent pas puni, il faudrait être un parent sans coeur pour ne pas le faire. Mais plus jamais on ne parla des problèmes d'argent à la maison. Andreas devient un adolescent simple, un peu moins renfermé, entouré de plusieurs amis au collège, surtout ceux avec qui il aimait faire toutes les bêtises possibles et imaginables à cet âge. Sa moyenne flirtait avec le zéro depuis longtemps déjà, et il s'en fichait. Ce qu'il voulait, c'était partir à l'armée. Comme sur les films en noir et blanc qu'il voyait sur la télé au bar du coin. Sa mère eut beau tout faire, tout dire pour le convaincre de ne pas partir, ce fut peine perdue. Alors que sa première histoire d'amour se finissait dans les larmes et la douleur, il fut pris par une impulsion soudaine et alla s'engager, le lendemain de son anniversaire qui lui permettait de partir. Après de nombreux mois d'entrainement physique intense et épuisant, apprenant à manier les armes, à se cacher des éventuels tirs ennemis, à se mouvoir dans n'importe quel décor, à réagir à n'importe quelle situation, même les plus extrêmes... il était prêt à partir pour l'Irak. Il ne s'était jamais senti aussi heureux, et aussi utile. Ce qu'il avait pu être idiot, à l'époque. S'il avait su qu'il allait enlever des vies. Bien sûr il le savait, mais il ne pouvait s'imaginer ce qu'il ressentirait. Bien sûr, personne ne peut s'imaginer. On avait beau se répéter inlassablement que l'on tuait l'ennemi, le soldat du camp adverse, notre coeur nous rappelle avec tant de cruauté que l'on a enlevé une âme humaine. Enfin pas une ni deux ni trois mais des dizaines. Des centaines peut être. Les jambes qui flanchent. Continuer de courir. Continuer de tirer. Se cacher, sans parvenir à calmer sa respiration irrégulièrement rapide. Et tirer, tirer. Crier, hurler de toutes ses forces. Les boyaux qui hurlent. Le visage d'Elias. Bon dieu, le visage de son meilleur ami qui le regarde avec tant de bienveillance, son meilleur ami là, dans ses bras, qui se vide de son sang. Rien à faire. Rien à faire. Et la cruauté, et la mort, et l'horreur, et – le pire – la vanité. On réalise à quel point tout cela ést inutile et vain, mais ça ne nous arrête même plus. L'Irak, puis l'Afghanistan. Le voile sur les yeux qui s'épaissit chaque jour de plus, chaque vie de moins. Après 7 ans à faire la guerre, Andreas finit par accepter de retourner sur le sol américain. Après une courte visite pour ses parents, il part pour Cambridge. Non pas qu'il espère entrer à Harvard, jamais il n'atteindrait le niveau requis. Mais il y retrouve son frère, Samuel, qui lui a réussi à entrer dans la prestigieuse université. Il décide de travailler. Il est sûr d'un chose : il ne veut plus jamais faire la guerre, entendre parler de la guerre ni même penser à la guerre – et il a envie de s'arracher les yeux dans son lit, la nuit, de ne pas parvenir à enlever ces images de son cerveau.
Eden, 21 ans ♣ personnalité sur avatar; James Franco ♣ pourquoi avoir pris cette personnalité; et pourquoi pas ? ♣ pv, scénario, inventé; inventé ♣ fréquence de connexion; 5/7
♣ code du règlement;
Spoiler:
okay par Jess.
♣ niveau de rp;
Spoiler:
Lucas, mettre les « choses au clair » avec son père ? Laissez-le rire. Leur relation avait toujours été telle qu'ils ne savaient plus, ou n'avaient jamais su, comment communiquer. Pour lui, le meilleur moyen de communiquer avec son père semblait être de lui lancer des trucs, de préférables blessants, à la figure. C'était les seuls moments où celui-ci semblait avoir un semblant de réaction autre que les ordres ou les reproches. Il se rappelait pourtant avoir essayé, une fois ou deux, lorsqu'il était bien plus jeune, de discuter avec son père. Il se rappelait notamment d'une fois où ils étaient seuls à la cuisine, assis l'un en face de l'autre, Lucas avait levé le nez de son assiette mais il n'avait même pas eu le temps de formuler son geste que, sans daigner lui adresser un regard, son père avait fait un geste de la main pour l'arrêter, concentré sur la radio qui donnait les informations sur le cours de la bourse ce jour-là. Si Lucas avait longtemps accepté sans broncher les exigences délirantes de son paternel, c'était parce qu'il était enfant. Forcément, October ne pouvait pas le savoir, mais cela faisait maintenant de longues années que leur relation était morte. Il ne voulait pas contredire la jeune femme, et il appréciait la gentillesse honnête qu'elle dévoilait envers lui. Mais il préférait encore se jeter sous un train plutôt que d'essayer, ne serait-ce qu'une seule seconde, de se confier à son père. Il se contenta d'hausser les épaules nonchalamment.
Parfois, il pensait à sa mère qu'il n'avait jamais connue et se demandait quelle personne elle pouvait être. Son père l'avait fermement interdit de rencontrer celle avec qui il avait trompé sa femme, lors d'une nuit d'ivresse. Lucas avait fouillé des centaines de fois dans son bureau, mais n'était jamais tombé sur un nom, un numéro de téléphone, quelque chose. Au fond de lui, il se disait qu'il devait bien plus ressembler à sa mère qu'à son père. Quand ils étaient enfants, ils leur arrivaient d'en discuter avec October. Mais le jeune homme qu'il était devenu avait tourné la page et n'y pensait plus.
C'est la jeune femme qui finit par le sortir de ses pensées :
- Lucas... Ca va te sembler absurde, mais.. Il est comment, le bar où nous sommes ?
Lucas laissa échapper un sourire un peu triste, bien que son amie ne puisse pas le voir. Cette question n'avait rien d'absurde. Il se sentait vraiment désolé – le mot est maigre – pour son amie, et il l'admirait dans un sens, parce qu'il se disait qu'à sa place, il n'aurait plus jamais été capable de sortir de son lit. Il ne pouvait s'imaginer vivre sans voir. Mais c'était probablement le cas d'October également, avant que ce terrible accident ne lui enlève la vue. Il jeta un coup d'oeil circulaire autour de lui qui était en fait plutôt inutile, car il connaissait ce bar par coeur.
« C'est un bar irlandais. Les tables, les tabourets, les bancs sont en bois. Il y a comme des vitraux, tu sais, ce qu'il y a dans les églises. Les vitraux séparent chaque table, de ce côté là. Un peu plus loin il y a une minuscule scène où tu te demandes comment un groupe peut bien réussir à tenir dessus. Au dessus, une télévision est accrochée au mur, ça passe du tennis, mais heureusement aujourd'hui le son est coupé pour laisser entendre la musique. Derrière, il y a un petit emplacement décoré comme une vieille bibliothèque, des étagères avec des vieux libres, des petites horloges, une sorte de fausse cheminée. Et le long de tout ce que je viens de te dire, il y a le comptoir. »
Lucas prit l'autre main d'October et la guida jusqu'au mur, où étaient encastrés des tonneaux en bois qui auraient contenu de la bière s'ils étaient vrais.
« Il y en a tout le long, au dessus il y a une étagère avec des milliers de vieux trucs – je mettrais toute la journée à te les énumérer –, plus loin il y a quelques tableaux. Derrière le bar il y a autant voire plus de choses, des bouteilles de toutes les formes, tailles et couleurs, des billets qui ne sont certainement pas des dollars accrochés au mur. Il y a même des tas de trucs accrochés au plafond, comme un drapeau irlandais. Le bar est quasiment vide, à part une bande de jeunes au fond et quelques vieux ivrognes irlandais qui ne semblent plus pouvoir décoller du comptoir. »
Lucas sourit. Il aimait bien ce bar. A chaque fois qu'il y pénétrait, il avait l'impression de quitter momentanément la vie trépidante de New-York, pour se retrouver dans un endroit un peu décalé, mais surtout très apaisant. Et bien sûr, la bière irlandaise était à tomber.
« Je sais bien que jamais mes petites descriptions ne pourront remplacer le véritable plaisir de la vue. Mais je serai toujours là, prêt à te décrire le monde entier, si tu me le demandes. » dit-il, et il était on ne peut plus sincère.
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it's summer time already !
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mar 22 Mar - 21:47
Bienvenue !!
James
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mar 22 Mar - 21:47
Han, Franco!!!
Trop sex!!!
Bienvenue!!!
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mar 22 Mar - 21:48
Bienvenue.
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it's summer time already !
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mar 22 Mar - 21:48
Han, han han han ! James c'est mon homme Bienvenue (:
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mar 22 Mar - 21:55
Héhé thaaanks
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mar 22 Mar - 22:26
Andreas + James Franco = (toi&moi évidement (a))
En tout cas le prénom est magniiiiiifiiiiiiique! Franchement .. wow *o* J'suis en admiration juste pour ça ! =O
Bienvenuuuuuuuuuue ! Code validée (a)
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mar 22 Mar - 22:50
Bienvenue !!!
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mer 23 Mar - 9:29
Han James Franco Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mer 23 Mar - 10:18
Franco Ta fiche est parfaite, le paragraphe sur la guerre est super poignant ! Tu es validé, bienvenue parmi nous (: Tu peux désormais aller recenser ton avatar et faire un tour par la case parrainage si tu penses en avoir besoin
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mer 23 Mar - 11:47
Merciii j'y courre !
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mer 23 Mar - 15:39
Bienvenue parmi nous :) Franco quoi
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mer 23 Mar - 15:41
Bienvenue (a).
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it's summer time already !
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mer 23 Mar - 18:44
Bienvenue en retard désolé
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Sujet: Re: Andreas Ҩ fucking war. 100% Mer 23 Mar - 19:49