1ère partie
Je suis née par un beau jour d'été à Miami, alors que mes parents fêtaient leurs nuits de noces. Que demander de mieux que d'être d'origine de Miami, dans l'une des plus belles villes d'Amérique ? Je suis née dans des contritions atroces, surtout en pleine saison haute, où il faisait dans les alentour des 30° C et dans une chambre d'hôpital, s'était encore bien plus chaud. Bref, ma mère,
Mina GREY, est d'origine américaine, née à San Diego, et mon père,
Adam MAYER également d'origine américaine quant à lui, il est né dans une petite ville perdue dans le fin fond du Colorado, à Aspen. Une magnifique petite ville de montagne, très fréquenté par les tourismes et les passionner du ski. Cependant, je n'ai pas grandi dans ses deux villes, ni même à Miami. Disons que j'ai grandi à Washington, la capitale des États-Unis d'Amérique. Dans mon enfance, je n'ai pas beaucoup voyagé, en fait, c'est plutôt mon père qui partait à gauche et à droite pour son travail. Cela dit, j'ai toujours été fière de mon père jusqu'au beau jour, que je me rendis compte qu'il n'était pas l'homme que je pensais depuis ma naissance.
Plus tard, au lycée, je rencontrais un charmant jeune homme où je m'étais donc prise refuge dans les bras, là où je me sentis tellement en sécurité, et pleine de grasse. Mais c'est seulement après quelques années que je tombais sous son charme d'ange. C'était mon premier petit ami, mais malheureusement, notre couple ne dura que deux années. Bref, je n'ai jamais été la plus populaire dans l'école, d'ailleurs, j'étais même la tête de Turque, celle qui s'en prenait toujours dans sa face. Au lycée, je n'ai jamais été vraiment heureuse, et de plus, je ne me suis jamais sentie dans mon élément, surtout auprès des filles. D'ailleurs, en étant que jeune fille, j'étais un véritable garçon manqué, ce qui expliquait '' le pourquoi'' je ne restais pas avec des filles.
Il avait même eu des rumeurs comme quoi, j'étais lesbienne, et que c'était pour cette raison que je ne fréquentais pas les filles. Cette rumeur, Je m'en fichais un peu, car, le principal, ce n'est pas ce que les autres pensent, mais ce que je pense de moi-même. Le reste, on s'en fout. Cependant, je n'ai jamais avoué à mes parents ce que j'avais traversée durant mes années de lycées. En fait, tout ce que je voulais, c'est que mes parents soient fiers de moi, quitte à mentir, et se faire passer pour une que je ne suis pas. Heureusement pour moi, j'étais assez soulagée que mes frères ignoraient totalement de ce que j'endurais et qu'ils ne savaient rien de tout ça ... Surtout qu'ils agissaient assez souvent par la violence, et ça, je ne souhaitais pas. Je préférais amplement régler mes affaires seules, sans l'aide de personne.
C'est à ces années là que j'ai connu mon futur mari, mais seulement, je n'ai jamais eu vraiment le courage d'avouer mes sentiments pour lui. C'est seulement après des années quand j'eut fini les études et que je me suis rendu comptes qu'il s'était inscrit à l'armée - et c'est à ce moment-là qu'on s'était seulement un peu rapproché. À l'époque de nos lycées, il était rare qu'il m'adressais la parole, d'ailleurs, je ne me rappelais même pas de la première fois qu'il m'avait parlé. Il était sportif et populaire, tout le contraire de moi. Bref, Il avait réussi à rentrée dans l'école d’officier tendis que moi je mettais plus dirigée vers la médecine comme la psychologie. Cela dit, nous n’avions jamais perdu de vue.
2ème parties
Après 5 ans d'études au sein de l'école de psychologie de l'armée, j'avais enfin eu mon diplôme à l'âge de 23 ans, le même âge où je me suis mariée avec
Orlando W. NIGHTINGALE. On aurait pu fondée un peu plus tôt une petite famille, mais faut dire, qu'on avait plus envie de profiter pleinement de notre mariage, notre couple et surtout notre passion que se consacrée à des enfants. Cependant, je ne cachais pas mes envies d'avoir des enfants avec lui et je savais qu'un jour où l'autre quand notre carrière sera lancée et qu'on gagnera un peu plus d'argent, on n'hésitera pas. Je n'ai jamais été au combat contrairement à mon tendre mari. Il était beaucoup plus courageux que moi, et plus de volonté. Travailler en équipe, ce n'était nullement mon truc. Je préférais rester à la base, et écouter des pauvres soldats en dépressions. Quand Orlando fut nommé Major, on l'avait envoyé aux bataillons alors qu'on attendait notre premier enfant, un adorable petit garçon qu'on donna comme prénom
Aston Mayer NIGHTINGALE.
Cependant, j'allais très vite rejoindre mon mari pour un mois ou deux mois maximum. Je ne restais jamais bien longtemps sur le terrain et tant mieux. J'avais déjà du mal à quitter mon bébé de cette façon alors rater son premier anniversaire c'était hors de question.
Lors de mon séjour en Afghanistan, un jeune homme m'avait attiré l'intention, un jeune rebelle, mais très discret. Il parlait très peu, d'ailleurs, je me demandais même pourquoi il continuait à venir me voir. Tout ce que j'avais appris, c'était que son '' meilleur'' ami voire même son grand frère était mort au combat. Je l'avais appris en dehors la séance par son chef de bataillon, mon mari.
La première fois que j'ai osé prononcer le nom de son ami, j'ai cru qu'il allait me mettre sa main dans ma figure. Ce jour-là, il s'était collé en face de moi, me regardant dans les blancs des yeux. Aucune parole n’était échangée, tout ce qu'il avait - c'était un blanc. Et puis, la chose arriva. Jamais, j'aurais cru que j'allais commettre un tel pêcher, mais je l'ai fait quand même. Sans m'en rentre compte directement, je me suis retrouvé à terre en train de me faire chevaucher par ce cher et brutal
Aaron Ezra CLIFFTON. Un dieu du sexe. Et c'est à ce le moment qu'on commençait à sympathiser - au lieu de donner des séances de psy normal, on s'amusant pendant une bonne heure à s'envoyer en l'air. Il était devenu un peu mon jouet, mon passe temps.
Ces bons moments ne pouvaient pas durer une éternité. Aaron fut blessé grièvement à la poitrine côté droit, et à la suite de cela, on le renvoya en Amérique pour qu'on puise lui fournir les soins nécessaires. J'ai appris un peu plus tard, qu'il avait préféré continuer ses études pour échapper à être appelée pour retourner sur le champ de bataille . Apprendre cela de la bouche d'un autre fut comme un coup de poignard dans le dos. Qu'est-ce que je fais faire sans lui? Je l'appréciais énormément, et je ne pensais pas vraiment que ces bons moments allaient finir si vite.
3ème parties
Aaron me manquait, certes, mais je devrais tourner la page et continuer ma routine. Mon mari ignorait encore que je me suis tapé l'un de ses hommes et je ne souhaitais vraiment pas qu'il le sache. Que cela puisse paraître bizarre, je l'aime plus que tout et le perdre serait enlever une partie de moi
surtout que nous avons un petit garçon, et gâcher un mariage juste pour un jeune comme Aaron serait d'une imbécillité. Bien sûr, je craignais de perdre mon mari, et nous avions beau nous voir et passer des moments intimité dans sa loge - je ne pouvais pas m'empêcher de m'amuser à gauche et à droite. Cela dit, jamais, je me tapais des officiers plus hauts que moi. Je ne cherchais pas à faire évoluer mon profil au sein de l'armée juste à faire passer mon temps. Quoique l'idée de monter en grade de cette façon m'est venue à l'esprit plus d'une fois. C'était un très bon moyen et très efficace. Plus je monterais de grades, plus je toucherais de l'argent. Ce serait comme de la prostitution si on réfléchissait bien, mais disons que j'aurais pu faire cela pour mon petit bébé de quelque mois.
Mes petites activités extra-professionnelles ne durèrent pas bien longtemps jusqu'au temps que mon mari me surprenne en flagrant délit avec l'un de ses soldats. Ce jour, en plus de perdre mon mari, j'avais perdu mon emploi sur le champ. D'un coté tant mieux, car je n'avais plus de compte à rendre à l'armée et je pouvais enfin être auprès de mon adorable petit garçon. 3 mois. 3 longues moins dans un pays de merde m'avait littéralement changé même si, je n'ai jamais été au front.
J'avais tenté de me faire comprendre auprès de mon mari, de m'excuser auprès de lui pour mes actes impardonnables ou encore je tendais de trouver une ressemblance qu'on avait vécu tous les deux pour expliquer mon acte. Rien n'y faisait. Il avait eu le droit à une permission de rentrer au pays pour régler ses problèmes familiaux. Je pensais qu'avec cela, on allait régler nos soucis, nos indifférences, mais non. Il préférait me quitter et demander le divorce. Une chose que je ne protestais pas. Je n pouvais pas l'obliger de rester avec moi alors qu'il me considérait comme une salope et encore le mot était faible.
4ème parties
De retour au pays, j'avais trouvé un logement dans l'est du pays, plus
précisément à Cambridge. Je pensais que déménager là-bas, j'aurais plus de chance à trouver un boulot étant donné que j'en cherchais un désespérément pour pouvoir vivre et payer les factures. Quant à mon ex-mari, il était reparti au front, me laissant la garde complète de notre enfant, le temps qu'il termine sa mission.
Je savais éperdument que je n'étais pas la femme parfaite, loin de là, mais de là, à me foutre à la porte s'était un geste excessif. Je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir, car d'un côté, j'aurais peut-être fait la même chose. J'aurais dû l'inviter peut-être à mes parties de plaisir, ça aurait arrangé les choses. Bref, maintenant que le mal était fait, je ne pouvais pas m'apitoyer sur mon sors.
J'ai postulé dans les hôpitaux de la ville et à proximité ainsi que les homes de vieux. N'ayant pas vraiment de bonne nouvelle concernant les postes, j'ai feuilleté un peu partout dans les journaux quand je tombais nez à nez devant un article qui disait qui recherchait une professeure de psychologie à l'Université Harvard. L'une des universités les plus prestigieuses des États unis avec ses 25.139 étudiants pour un petit nombre de professeurs qui s'élevait à 2.497, bientôt 2.498 si j'obtiens ce poste. Aurais-je ma chance d'avoir ce travail? Je n'avais pas vraiment d'expérience en tant que professeure, mais on pouvait dire que j'étais une excellente psychologue avec un remède miracle. J'ai tenté ma chance, et j'ai envoyé mon curriculum vitae.
Un mois plus tard, ne pensant plus vraiment à ce poste - j'eut un coup de fils de la secrétaire du tout grand directeur de l'université de Cambridge. Vous ne pouvez pas imaginer la joie que j'ai eue en endentent cette excellente nouvelle. J'étais prise... enfin ... même avec mon curriculum vitae était très médiocre et que je pensais que j'avais très peu de chance d'être prise. Mais il est clair que je ne ferais pas la conne même si je sais au fond de moi, que je ne pourrais jamais résister à la tentation d'un beau gosse riche.
5ème et dernières parties
Ma petite mallette noire à côté de moi, sur le siège passager et me voilà prête à aller au boulot pour mon premier jour. Je stressais plus que tout, surtout quand j'avais franchi la première fois la grande porte de l'établissement. J'avais cette impression que tout le monde me regardait a chaque couloir que je traversais - c'était dans ma tête, je le savais, mais je ne pouvais pas m'empêcher de m'imaginer cela. Quelques heures passèrent que je sortis de mon bureau, et soudain, je restais la bouche grande ouverte, et immobile. Aaron Ezra CLIFFTON étudiait dans cette école? Depuis cet instant, je me disais que l'année allait être rebondissant et très active. Il avait d'autres filles à ces côtés, qui me semblaient très proches de lui. Cela ne m'étonnerait pas que chacune d'entre elles soit passée sous le corps d'Aaron.
Je n'étais aucunement amoureuse de cet homme, mais le voir dans les bras de cette blonde, ou d'une brunette me mettait hors de moi, qu'il m'était quasi impossible de laisser passer cela. Je me vengeais sur celle qui était en quelque sorte une menace pour moi. Bref, je me vengeais pas bien méchamment, mais je le faisais quand même que cela plaise ou non. Tout ce que je voulais faire savoir à ses jeunes petites garces , c'est qu'on touche pas à mon jouet.