Ce qui fait que notre vie est spéciale se sont tout les événements important que cette dernière contient. Ma vie en détient tant , de bon comme de mauvais. J’apprécie les bon, je les aiment même, mais les mauvais, je les gardes respectant chaque erreurs commise au point de me rendre mal. La souffrance me vient pourtant le plus souvent des personnes à qui je tiens. Mes parents,mes sœurs, mes amis et tant d’autre personne . Je suis cependant une personne fermé, je ne fais pas confiance rapidement et de plus est que je peux enlever ma confiance très rapidement. Mais, quand les personnes son digne de cette dernière, je prends soin d’eux. Enfin, parlons de ma vie des moments marquant.

LE 21 Mars 1988

Ma naissance. Ma mère avait toujours souhaité ce jour, et je ne suis plus très sûre que maintenant,elle l’aime encore. Ils n’était plus tout jeune quand je pointa le bout de mon nez, ils étaient tout deux âgés de trente neuf ans. Ils avaient tout essayé pour avoir un enfant bien à eux. Ce jours là avait mit beaucoup de temps à arriver. J’étais leurs premier trésor. Un trésor qui aura tout, même au plus petit centime. J’avais tout même avec le peu d’argent que mes parents disposaient. J’en avais pas conscience , l’enfant que j’étais et que je reste au plus profond de moi était si ignorant. J’étais turbulent à la maternelle, jusqu’à la primaire. Le sport me permit de me calmer où plutôt de ma canaliser. C’était tout les sports, j’étais souvent indécis face à de tel choix. Je me posais sans cesse des questions futile. J’avoues, mes questions sont très différente maintenant tout comme moi. Le sport ne m’avais pas fait réaliser tout ça, non c’était tout simplement l’arrivé des deux magnifique petite sœur dans ma vie.

Le 16 Décembre 1998

C’était bientôt Noël. Le plus merveilleux des cadeaux, n’étais pas un Action Man. Non, c’était ces deux jolies peste âgées de sept ans qui venait de franchir le seuil de mon foyer, ma maison. Je les aimaient déjà. Étonnant? Peut-être. Mais, je savais que j’avais quelque chose à défendre: ces deux là. Je crois bien que mes sœurs Célizée et Maïke m’avais fait grandir. J’étais plus sage. Écoutant tout ce qu’on me disais, même si je n’ai jamais vraiment supporté la critique. Je montrais l’exemple, me disais mes parents. Je le remarquais jour après jour à leurs coté. Moi, mes sœurs était tout ce dont j’avais de plus précieux, certaines fois elles passaient devant mes parents. Elles me le rendaient bien. Nous étions proche, on avait du mal à passer du temps les uns sans les autres. On été unies et on allait continuer ainsi même dans les moments, difficile.

Le 30 Janvier 2004

Seize ans. Un âge difficile? C’était sur. J’étais l’un des enfants difficiles. Je n’étais pas violent, je ne manquais pas de respect. Non, pour moi j’avais que de bonne raison de faire ça. Me promener avec eux, vendre et détruire des vies. De bonne raison? Oui, mon père avait perdu son travail un mois plus tôt. Je voyais mes parents se priver pour moi et mes sœurs. Je n’appréciais pas ce spectacle, bien au contraire ça me dégouttait de cette société. Il avait toujours bossé difficilement et m’avait toujours dit qu’on devait jamais baisser les bras. Il ne l’avait pas fait, on l’avait aidé à baisser les bras. Cette société l’avait détruit. On l’envoyait ailleurs disant que ces compétences en menuiserie n’était plus les bonnes et qu’il n’était plus assez jeune pour suivre le rythme. J’avais l’âge d’avoir une travail. J’étais désireux de travailler, mais mes parents n’aimait pas ça. Leur fils pouvait travailler, mais surtout pas donner sa paye à ses vieux parents pour les aider. Je vendais de la drogue à des jeunes et quelque fois des plus âgées. Mes parents n’aimait pas mes fréquentations, je n’avais pas le choix, j’étais devenu l’un des leurs. Je naviguais entre les gangs n’entrant jamais dans l’un deux. Je vendais pour tout le monde, je risquais gros. Mais, mon rôle que je jouait à merveille avait aussi sauvé ma vie. J’avais échappé à la prison grâce à lui.


Le 7 Février 2004

Acheteur: La même
Moi:Tiens
Acheteur: Les mains sur la tête.

J’étais piégé. Ce client que je servais depuis plus de deux mois était en faîtes un flic en mission. J’aurais dû finir en prison à payer ma dette. Mais, j’étais bien placé pour savoir qui était mettre de tout ça. Je devenu un indique. J’avais tout dévoilé. Mais, je parles pas de l’indignation de mes parents. Jamais, je n’avais vu un tel regard sur moi de la part de mes géniteurs. Cela, m’avais brisé le cœur. J’étais mal. Je n’avais pas appréciais ce nouveau regard qu’ils avaient pu avoir sur moi. J’avais essayé de reprendre une vie normale. Personne ne savait que j’avais balancé, pour être sauvé. Je me devais d’être toujours présent pour ma famille, même si entre moi et mes parents rien n’allaient. Notre relation avait changé. J’étais surveillé et j’aimais pas cela. Je n’étais plus un enfant presque parfait, j’étais devenu un délinquant dont les parents n’avait rien vu venir. Je n’avais pas expliqué mes gestes. Je ne voulais pas descendre mon pére et ni ma mère qui continuait de se tuer à la tâche entant que femme de ménage. J’essayais de plus m’attirer les foudres des autorités qui avait ouvert mon casier judiciaire. Je me remettais à mes études, essayant d’aller et d’être toujours le meilleurs, je voulais revoir le regard fière de mes géniteurs. Tout en prenant soin de la prunelle de mes yeux Maike et Célizée.

Le 9 Juillet 2005

Ma plus grosses erreur fut provoqué par une erreur commise sur l’une de mes sœurs. Une soirée normale. On traîne, on s’amuse. Enfin, c’était surtout la soirée de notre lycée. J’étais en dernière années et mes sœurs en était à leur première. Personne n’osait les toucher. On me connaissait. J’avais l’air doux et super gentil, mais j’étais aussi impulsive et bornée. Il ne fallait donc pas les toucher. Ce soir, j’avais prévue de sauter le pas. Faire l’amour avec celle que j’étais. Cela faisait sept mois que j’étais avec elle. J’étais prés. J’étais un romantique dans l’âme et j’aimais voir celle que j’aimais heureuse et épanouie. Cette dernière était tout aussi prêt ,malgré les jalousies de mon ex. J’étais pas comme tout les mecs qu’on pouvait trouver dans mon lycée, je respectais les filles, on m’avait éduqué ainsi en me disant sans cesse que je devais traiter les filles comme ci elles étaient toute mes sœurs. Je sais. Difficile par la suite de vouloir leur faire l’amour. Enfin, l’appel du sexe devenait oppressante, mais je ne voulais pas y être forcé ,mais juste en avoir envie à deux. Rien. Ne s’était déroulé comme je l’avais prévu. J’étais encore puceau, et je m’en voulais d’avoir pensé à ça sans penser à elles. J’y étais presque. Mais, voilà mes sœurs commencèrent à me harceler au téléphone. Au début, je n’y prêta pas intention. Non, j ‘avais envie de profiter du corps de la jolie brune qui était maintenant presque à ma merci alors que moi je n’allais pas tarder a être à elle. Mais, mon téléphone continuait de me rappeler à l’ordre. Je jetais un œil à ce dernier voyant des tas de message. Les messages étaient une sorte d’appelle au secours. Je n’hésitais pas un instant renfilant mes affaires. J’appelais l’une de mes sœurs et cette dernière était paniqué et j’entendais la deuxième pleurer. Je courrais pour me rendre au lycée. Exactement dans les toilettes. Ce que je vu et entendu par la suite me déchira le cœur.


Le 10 Juillet 2005

La vengeance faisait partit de moi depuis ce jour. Elle ne voulait rien dire et elle me l’avait fait promettre. Moi, et Célizée étions totalement perdu ne sachant quoi faire. Nous avions pas d’autre choix que de nous taire et de taire toute les douleurs et les mots qui nous parcourait. Elle savait ce que j’allais faire et je savais dans son regard que Maïke ne m’en voulait pas. La nuit tombait, elles étaient toute deux endormit dans mes bras et je voyais que mes parents se tracassaient. Ils mettaient notre comportement sur une peine de cœur de l’une de mes deux sœurs. Ce n’était pas le cas. J’avais besoin de m’aérer dis je à mes parents quand je décida d’aller venger ma sœur. Je savais qui était ce mec qui avait osé la toucher et l’effleurer ma sœur. Je savais comment le mettre mal. Mais, je compris vite que je ne pouvais tout maîtriser. Je comptais pas parler ça c’est sur. Mais, je ne comptais pas tuer. Pourtant c’est se que je fis. Je n’avais pas maîtrisé tout les coups, je savais que la plus part étaient meurtriers et que même sur le ring et le tapis ces derniers pouvait faire beaucoup de dégâts. Les coups volaient de chaque coté sauf que lui n’étais pas forcément entraînait. Un dernier coup fût fatale, je continuais alors qu’il était a terre. La rage et mon impulsivité c’était emparé de moi. Je le laissa là , dans cette ruelle abandonnée. Personne ne savait qui avait tué ce jeune qui faisait partit d’un gang. Les autres gangs ennemi furent directement accusé. J’étais donc innocent, mais je ne supportais pas voir tout ces gens s’entre tuer en sachant que c’était moi. J’avais une raison, mais ma bonne raison pouvait être mauvaise pour d’autre.

Le 1 Septembre 2006

J’étais partis. Je n’étais plus à Atlanta ,mais à Cambridge. Je protégeais mes sœurs de loin. J’avais décidé de fuir,même si je n’étais point coupable. Personne ne savait pour le viol de ma sœur ou encore pour ma rancœur pour lui. J’étais libre. Je me décidais enfin de reprendre mes études. Je savais ce que je voulais faire et ce que je devais faire pour réussir. J’était toujours puceau. Mais, personne ne le savait tout le monde pensait le contraire. Il fallait dire que j’avais toujours étais dragueur, jaloux et tout ce qui allait avec . Je pouvais embrasser à tout bouts de champs. Je pouvais faire les préliminaires, mais je trouvais toujours des échappatoires , ne pouvant m’empêcher de repenser à tout ça me demandant si mes sœurs étaient en sécurité.

Le 21 Octobre 2011

J’ai grandit et mes sœurs vont me rejoindre à Cambridge. Je suis toujours puceau. Personne ne l’a découvert. J’ai envie de le faire, mais je nourris toujours cette peur que mes sœurs ne soit pas en sécurité. Je sais plus si l’amour est toujours aussi bien quand on aime l’autre. Enfin, je continues m’amusant comme les autres qui ne savent toujours rien de moi. Cela fait trois ans que je suis à l’université d’Harvard. J’ai mentit sur moi pour pouvoir y rentrer. J’ai mentit sur mon parcours, sur mon casier judiciaire. Sur ma vie en faites . J’étais pas honteux de tous ça car cela m’avais fait grandir. Cela fait presque deux ans voir plus je joue au chat et à la souris avec cette jolie blonde: Dolce. Je sais elle a eut bien des mésaventures en ce moment. ¨Puis ce n’est pas ça qui va me faire peur, je la draguais déjà quand elle était fidèle à Austin alors maintenant qu’elle était de nouveau célibataire pourquoi pas. J’aime courtiser les filles et les laisser en plan quand elle veulent foncer. Un jour on me découvrira , et je n’aurais pas honte.

PSEUDO parlez nous de vous brièvement: 19 ans ; J'aime la musique , mes amis , la musique....; j'ai connu le forum par ma cousine ;au moins une fois par semaine ; 12/20 - une quinzaine ; Chace Crawford. Validée par Aly .