« I found a place so safe not a single tear »

« Devyn Trisha Hostwood ramène tes fesses ici ! » C’était devenue une habitude dès que ma mère prononçai cette phrase cela signifiait que je l’avais une fois de plus déçu et que j’allais en prendre pour mon grade. Je venais d’avoir onze ans et forcément j’avais soudoyé mon père pour qu’il m’offre le plus joli poney de tout Los Angeles. Pourtant j’étais loin d’être passionnée par les chevaux au contraire leur odeur me répugnait et leur poils horrible adoraient se coller sur mes vêtements bien trop cher pour une simple fillette de onze ans. Je ne me souviens même pas pourquoi ma mère m’avait engueuler ce jour là je sais juste que ce fut le début d’une guerre entre elle et moi. J’aime ma mère plus que tout, mais il y a toujours eu cette rivalité entre nous. Jalouse de ma jeunesse et moi j’étais simplement jalouse de sa vie si parfaite. J’étais devenue une fille pourrie gâtée car même si ma mère ne voulait pas m’offrir tout ce que je demandais ce n’était pas le cas de mon père qui lui travaillait beaucoup et compensait son absence par des tonnes de cadeau. C’est d’ailleurs ces absences répétés et ses dépenses inutiles qui ont crée des tensions dans le couple qu’il formait avec ma mère, pendant ce temps là moi je vivais ma petite vie sans me préoccuper du divorce inévitable qui allait tomber sur ma famille. En grandissant je devenais cette fille ingrate, méprisante et surtout hautaine ma mère ne me supportait plus et pourtant elle a toujours été là pour moi. Mes amis ? Je les comptait sur les doigts d’une main et encore ils ne m’étaient pas tous fidèles. Je suis une fille facilement détestable et je le sais pourtant je ne changerai ça pour rien au monde. C’est ça qui fait que jusque maintenant on m’a toujours respecter.

« But that's enough for now... »

« Papa ! Ca fait trois jours que je suis dans ce lit d’hôpital pourrie ! Sors moi de là TOUT DE SUITE ! » Une crise de plus. Je m’étais cassé la jambe et le médecin m’avait jugé trop indiscipliné pour me laisser sortir. D’après lui je devais rester 10 jours immobiliser dans un lit d’hôpital, je trouvais ça complètement débile et forcément c’est mon père qui en prenait pour son grade. Sous le regard menaçant de ma mère, ce fut la première fois que mon père me refusa quelques choses. « Ecoutes Devyn ! Tu restes ici et on viendra te récupérer quand ce sera le moment ! » J’avais dix huit ans et à ce moment là j’ai commencer à haïr mon père. Mes parents sont partis me laissant seule dans ces quatre murs blanc et là j’ai commencer à ronchonner me croyant seule quand d’un seul coup le drap blanc à côté de moi s’ouvrit. « Moi ça fait 6 mois que je suis dans ce lit pourrie comme tu dis et je serais prêt à parier que je ne me plains pas autant que toi. » A ce moment précis, je ne connaissais rien de lui et pourtant il allait très vite devenir essentiel à ma vie. Daryl, c’était son prénom et même si sa première approche n’était pas des plus gentille il avait totalement raison. Durant mon séjour à l’hôpital, je me suis pour la première fois intéressé à quelqu’un d’autres que moi, son histoire m’intéressait et lui aussi. Il avait immédiatement vu mon mauvais côté et pourtant il m’appréciait à ma juste valeur. Durant cette période j’en suis même venu à m’éloigner de mes seuls amis, même après avoir quitter les cours je venais directement le voir à l’hôpital. C’est comme ça que notre histoire à commencer, malheureusement plus les mois passaient plus je voyais son état se détériorer mais les médecins me rassuraient à chaque fois. « T’en fais pas Devyn, c’est un battant il s’en sortira. Puis il t’as fait changer, tu ne t’en rends peut être pas compte mais c’est celui qu’il te fallait. » J’avais changer, je m’étais assagit et j’avais appris grâce à lui qu’on obtenait pas toujours ce qu’on voulait, il m’avait rendu humble. J’espérais vraiment qu’il sorte un jour de cet hôpital, ces examens ce sont d’ailleurs améliorée et on avaient prévus grâce au centre médicale une petite sortie rien que nous deux ce jour là je l’attendais avec impatience et pourtant à l’heure actuel je déteste ce jour.
« Ecoutes moi Devyn… c’est fini ! Il est parti. » Cette phrase je me refusais de l’entendre, dès mon entrée dans ce fichu hôpital j’avais bien senti les regards pesant sur moi, j’étais connu maintenant ici et mon histoire avec Daryl également alors quand j’avais vu tout ses regards tristes et compatissant j’ai vite compris qu’il m’avait quitter et ceux sans un au revoir. Mes parents ont du venir me récupérer tellement ma crise dérangeait, mais je me refusais de l’entendre.

« Since your paper heart stopped beating leaving me suddenly alone...»

Dépression. 3 mois enfermé dans ma chambre dans la nouvelle maison de ma mère et de son nouveau mari, car oui mes parents ont divorcés. Les raisons exactes ? Je ne sais même pas. Ma mère compatissait mais elle en avait assez de me voir enfermé dans cette chambre noir où aucune joie de vivre n’apparaissait. « Tu as 19 ans Devyn ! Sors, profite, retrouve tes amis mais j’en ai marre de te voir ici et dans un état pitoyable ! » J’entendais toujours la même chose, il fallait que je sorte mais je n’en ai jamais eu l’envie mais pour lui faire plaisir je me suis mise à sortir retrouvant mes amis. Seulement la Devyn que Daryl avait connu n’existait plus, j’étais redevenu la Devyn ingrate et hautaine qui se fiche de tout. J’ai appris à vivre sans lui, je me refuse à tout sentiments mes seuls aventures sont celle d’un soir et ça ne sera jamais rien d’autres. J’ai continué mes études, ma première année d’études supérieur je l’ai effectuer à UCLA seulement voilà, Los Angeles je n’en peux plus j’ai besoin de voir autres choses et c’est pour ça que je viens de finaliser mon inscription à Harvard. Une nouvelle vie et de nouvelles choses m’attendent ici à Cambridge.

Jewel parlez nous de vous brièvement: 20 ans ; J'aime pleins de choses ; autant que possible ; plutôt bon - environ 30-40lignes ; Sophia Bush; Code ok Dolce