Seul, recroquevillée dans la salle de bain d'un illustre inconnue entre le mur et les toilettes j’essaye d'oublier ce que je suis venue faire ici, ce que j'ai bien pu prendre il y a peine quinze minutes et les tambourinements qui résonne contre la porte. Je suis tellement pathétique, que j'en viens à me demander comment j'en suis arrivé là. La raiponce, je la connais... Mais cela fait trop mal.

CHAPITRE UN : LE DÉBUT DE LA FIN

« P. regarde moi s'il te plais .». Je plante mon regard dans celui de Jude à contre cœur. « Tu veux vraiment que cela continue comme ca ? ». J'ai envie de détourner la tête, de ne plus voir ces larmes coulé le long de ses joues. « Je veux dire, tu ne veux vraiment que toi et moi ce soit ca ? ». Non, bien sur que non, j'aimerais que tout soit différent, que tout soit plus facile. « Réponds moi Piper ! Dit quelque chose bordel ! » Je s'en le souffle de ses cries sur mon visage et pourtant je ne sais pas quoi lui dire. J'aimerais tellement qu'elle cesse de pleurer, de crier, d'être si malheureuse. Je sais ce qu'elle veut entendre. Mais je ne peux pas le dire, parce qu'elle sait. Elle sait que ce serait lui mentir. Je ne peux pas. Je ne veux pas. Révéler à tout le monde notre histoire, dire que nous ne sommes pas que de simples amies au reste du monde serait une folie. « Je te préviens Piper, si tu ne me dit rien je m'en vais, c'est fini. ». Mon regard plonger dans le sien je sent qu'à mon tour les larmes me montent aux yeux. Je ne veux pas qu'elle s'en aille, j'ai tellement besoin d'elle pour avancer. Mais je ne peux pas non plus abandonner tout ce que j'ai pour elle. Mon petit ami, ma réputation, ma famille... Un hoquet s'échappe de sa gorge entre deux sanglots « J'en peux plus P... Je t'aimes, mais ca peut plus duré comme ca.». Et c'est sur c'est quelques mots que Jude me tourna le dos m'abandonnant dans les vestiaires du lycée, santant que l'air commençait à me manquait. « Mais je t'aime moi aussi... » prononçais je à mi voix. Mais il était déjà trop tard, elle ne pouvait plus m'entendre, elle ne voulait plus m'entendre.

CHAPITRE DEUX : AU TOUR DES ADIEUX

« Et bien qu'est ce qui t'arrive Bébé ? Tu fait une de ces tête ! ». Je laisse mon petit ami m'embrasser sans prendre la peine de répondre à sa question ni même la peine de participer à ce baiser, ce qu'il remarque tout de suite. « Et bien dit donc, dans le genre froide tu es la reine des glaces aujourd'hui. » plaisante t il. « Il faut que l'on parle toi et moi » lui annonçais je enfin l'air sérieuse. Son sourire s'évapore aussi rapidement qu'une goutte d'eau tombant dans le désert. Je peux même voire les muscles de sa mâchoire se crispé sous l'effet de l’anxiété. Je sais qu'il ne va rien dire tant que je n'aurais pas fini de m’expliquer, alors je poursuit. « Je pars... » Je prends un petit temps de pause regardant les trais de son visage se durcir un peu plus. « J'ai décidé de partir à New York, tenter ma chance et... » Visiblement s'en ai déjà trop pour lui car il me coupe la parole. « Comment ça tu pars à New York tenter ta chance ? Tu te moques de moi là Piper ? ». Il est noir de colère, mais je m'y attendais. Je fait un petit non de la tête puis pose mes mains le long de ses bras. « Écoutes... » Il se dégage rapidement de mon emprise, reculant d'un pas. « En gros tu es en train de me largué si j'ai bien compris ? Comment tu peux faire une chose pareille Pip ! On est pas bien tout les deux ? Tout le monde dit que nous formons le plus beau couple du lycée, je comprends pas. Je te combles pas c'est ca ? Et puis comment tu peux vouloir partir comme ca ? Je croyais que nous devions aller ensemble à la fac. Et tes études alors ? Merde Pip, tu ne peux pas me faire ca, tu ne peux pas nous faire ca ! ». Je le regarde un air triste dans le regard, alors que son énervement ne cesse d’accroître à chaque mots sortant de sa bouche. Ce me fait tellement de peine de lui faire une chose pareille. J'aime Jude, mais je l'aime lui aussi d'une certaine façon. Nous avons vécu tant de chose lui et moi. Il est le petite ami dont rêverait n'importe quel fille et pourtant je n'en veut plus. « Je suis tellement désoler... » « Désoler ? Tu es désoler ? » se met il a me hurler dessus. Je le laisses faire baissant les yeux pour regarder le sol. Je le mérite après tout, je suis une petite amie pitoyable, qui le trompe, avec une fille qui est plus ai et qui maintenant l'abandonne pour fuir. Il a le droit d'être en colère. Je pars parce que je n'arrive plus à vivre sans Jude, je ne supporte plus de la croisé tout les jours dans le lycée et je ne supporte plus de pensé à elle chaque fois que je suis avec lui. « Je... Je... » Je relèves la tête en l'entendant bafouiller et constate avec stupeur qu'il est au bord des larmes. Pourquoi dois je faire du mal au gens qui m'entoure, pourquoi ne suis je pas capable de faire des choix ? Je veux porter ma main à son visage, mais encore une fois il s'écarte le regard méprisant. J'ai l'impression à cet instant précis que je suis la pire chose qu'il est put voire de toute sa vie. « Tu sais quoi Young ? Tu n'es pas aussi désoler que moi ». Il récupère son sac de sport à ses pieds et alors que je crois notre conversation terminé, il se retourne une dernière fois vers moi une larme coulant sur sa joue. « Je te déteste Young ! ». Et c'est à ce moment précis que j'eu la sensation qu'il venait de me poignarder en plein cœur.

CHAPITRE TROIS : MANHATTAN JE SUIS LA

Une lumière aveuglante m’éblouis soudainement alors qu'une voix qui ne m’aie pas si inconnue raisonne dans la pièce. « Aller debout, debout ! La célèbre Piper Luz ne se fait pas attendre ! ». Je tire alors ma grosse couette sur ma tête espérant faire disparaître Queen de ma chambre et en priant pour que les lutins entreprenant des travaux d'aménagement de souterrain dans ma tête fassent une pause. « Tu as fait encore fort hier soir ma chérie ! » s'écrit elle tout en s’asseyant à côté de moi sur mon lit. Pitié mon dieu, faite la taire ! « Tu es vraiment devenue la reine de Manhattan tu sais ! Regarde, tu es encore en photo dans le Daily News . » Je me redresses alors instantanément pour attraper le journal que Queen venait tout juste de lancé sur moi. Je passes les pages à tout vitesse jusqu'à la rubrique people. « T'inquiètes pas chérie tu es splendide comme toujours ! ». Effectivement. Je reste plusieurs seconde à contemplé l'allure que j'avais hier soir dans l'une des robes que j'ai conçue pour mon usage personnel. Je ne remerciais jamais assez les paparazies de m'avoir photographie au début de la soirée et non à la fin. Car pour être honnête je ne me souvient plus vraiment de la fin... J'en profite tout de même pour lire le petit texte laisser par le journaliste sous la photo « Une robe bustier splendide à faire pâlir de jalousie toute les demoiselle présente à la soirée. Décidément Piper Luz nous surprendra toujours avec ses créations. » Un sourire de satisfaction se dessine alors sur mon visage. Mais soudain je redescends sur terre en entendant Queen se raclé la gorge. « Tu pourrais au moins me dire merci pour t'avoir ramener ici. Je t'ai éviter un scandale chérie. Et franchement arrêtes toute ses saloperies tu veux, tu vas finir par ternir ta réputation si tu te fais coincer. » Je lâches un gros soupire avant de me laisser retomber dans mon lit, ce qui réveille au passage mon mal de crâne. « S'il te plais Queen recommence pas avec ca... Je sais que tu es mon assistante et tout, mais tu n'es pas ma mère non plus ! ». Je ne la voie pas, mais je s'en tout de même son regard me transpercer. Ce n'est pas très sympa de ma part, je sais, mais j'en ai mare que l'on me fasse la moral, je veux juste profiter et oublier... « Oui et bien je penses que tu me doit bien ca ! Je caches tes scandales avec la drogue à toute la presse New Yorkaise, et pas seulement. Je suis sur que plus d'un journaliste serait ravie d'en apprendre sur les orientations sexuelles de la dernière styliste en vogue à Manhattan ! ». Je soupire une nouvelle fois, me cachant à nouveau sous ma couette. Je déteste lorsqu'elle est comme cele, lorsqu'elle à raison. « Désoler Queen... » marmonnais je. « Pardon ? J'ai pas entendue. ». J'écarte la couette de mon visage puis m'écris un peu plus fort. « Je suis désoler Queen et merci d'avoir été là hier et tout les autres soirs. » « Je préfères ca ! » conclue t elle avant de se relevé de mon lit. « Bon en attendant je vais aller te chercher un café. Habits toi rapidement, on à un rendez vous important dans une heure. » Elle se dirige tranquillement vers ma porte quand je l'interpelle. « Profite en pour me ramener une aspirine aussi. Voir deux si tu veux que je sois en forme pour le rendez vous. » Elle me sourie puis quitte enfin ma chambre refermant délicatement ma porte derrière elle.

CHAPITRE QUATRE : HANTER PAR LE PASSE

Seul, recroquevillé dans la salle de bain d'un illustre inconnue entre le mur et les toilettes j’essayes d'oublier ce que je suis venue faire ici, ce que j'ai bien pu prendre il y a peine quinze minutes et les tambourinements qui résonne contre la porte. Je suis tellement pathétique, que j'en viens à me demander comment j'en suis arrivé là. La raiponce, je la connais... Mais cela fait trop mal. « Piper ouvre s'il te plais ! ». Je relèves ma tête en reconnaissant le son de la voix « Piper ouvre moi, c'est Queen ! ». Je me lèves et me dirige vers la porte d'un pas lent avant de l'ouvrir pour la refermer aussi tôt mon assistante entrée. « Mais regarde toi, tu fait peur ! Mais tu as pleuré en plus ! » Elle prend mon visage entre ses mains que je repousses immédiatement « Et c'est quoi cette poudre sur le rebord du lavabo ? Je croyais que tu avais arrête P. ». Je me laisse à nouveau tomber entre mon mur et mes toilette. « Je veux rentré chez moi Queen . » Elle s'approche de moi m'attrapent par les coudes pour me relever. « Je te ramènes tout de suite. » Je me débats à nouveau pour qu'elle me lâche. « Non pas chez moi, cher moi, mais chez moi à Cambridge. J'arrive pas à la sortir de ma tête Queen tu comprends ca ? » Je frappes violemment mon crâne avec mes poings. Queen essaye alors de m'arrêter « Stop Piper, arrêtes s'il te plais ! Arrêtes de te faire du mal comme ca. Tu peux plus continuer comme ca parce que Jude t’obsède. Regarde, tu as réussie tout ce que tu voulais ici, tu es célèbre, riche, belle et tu pourrais avoir toute les filles ou garçons que tu veux. Alors je t'en supplie arrêtes ! ». J’obéis à son ordre, mais non pas parce qu'elle arrives à me raisonner mais tout simplement parce que je me met à fondre en larme dans ses bras. Je sais qu'elle a parfaitement raison, mais rien n'arrive à remplacé Jude. Ni l'argent, ni la célébrité, ni même la coke arrive à me la faire oublier. J'ai juste l'impression de vivre avec un fantôme. « Je veux rentré Queen. S'il te plais, je veux rentré... ». Elle me sert alors dans ses bras caressant doucement le haut de ma tête. Immédiatement cela me réconforte un peu.[color=#505454] « Je vais voir ce que je peux faire P. ne t'inquiètes pas, tout va bien se passé, je te le promet ! »

CHAPITRE CINQ : LE JOUR DU RETOUR

Je restes un long moment à contemplé ma maison depuis la fenêtre de ma voiture. En quatre ans, elle n'a pas vraiment changer alors que moi... « Tu es prêtes ? » me demande Queen assise au volant. Je tourne la tête vers elle, me disant qu'elle fut sans doute l'une des meilleurs choses qu'il me soit arrivé à New York. C'est grâce à elle si j'en suis arrivé là, si j'ai réussie a faire de mon rêve une réalité, si j'ai réussie à me sortir des folles soirée de Manhattan pour m'installer à nouveau Cambridge et si j’arrive enfin à faire mon coming out auprès de mes parents. Je suis triste de devoir la laisser repartir à New York, mais si je veux pouvoir continuer mon job ici, elle doit rester là bas pour gérer le reste. Je lui prend alors la main « Oui, je crois que je suis prête, mais je voulais te dire une chose avant cela . » Elle me regarde l'air un peu étrange. « Ne me dit pas que tu as craqué sur moi P. ». J'éclate de rire. « Tu es folle ? » Elle me sourie, peut être rassuré ou peu être parce qu'elle m'avait tout simplement fait une petite blague avant de partir . « Non, je voulais juste te dire merci . Merci pour tout Queen . Tu resteras ma meilleure assistante, mais aussi ma meilleure amie ! » Elle me sert alors brusquement dans ses bras. « On dirait que l'on ne va plus jamais ce revoir. Dit pas des choses pareilles s'il te plais Piper. Tu vas tellement me manquer. » Je sens dans sa voix que les larmes ne sont pas loin de faire leur apparition, tout comme c'est mon cas. « Qui vais je bien pouvoir aller sortir du pétrin à quatre heures du mat' à des soirées de débauche ? » Nous éclatons toute les deux de rire avant de nous écarter l'une de l'autre pour nous regarder d'une dernière fois. « Je te promets que je reviendrais à Manhattan juste pour ca ! ». Je l'embrasse et la serre une dernière fois dans mes bras avant de quitter la voiture pour annoncer des choses que j'aurais dut annoncé depuis bien longtemps à mes parents. Et pour récupérer, qui sais, la personne qui compte le plus pour moi...

PSEUDO parlez nous de vous brièvement: j'ai un petit secret à vous révéler je suis un D.C, voui voui voui, et certain vont sans doute savoir qui je suis surtout si je vous dit que j'ai supprimé mon ancien DC pour en faire un nouveau... Qui suis je? A vous de le deviner! ; j'ai pris Jessica parce que je la trouve juste super jolie mais je crois que je ne suis pas la seul à pensé cela ; Validé par Aly