Summer Moon...en français Lune d'été.

Dans notre monde s'oppose plusieurs forces, le soleil et la lune. Le jour et la nuit. Pourtant l'obscurité n'est pas toujours synonyme de mal tout comme la lumière n'est pas toujours synonyme de bien.
Il y a les être de la nuit et du jour parmi nous. Ceux-ci se cachent, se dissimulent, ne veulent pas être découvert.
Pourtant il existe un endroit où la concentration de gens dit « normaux et d'autres dit « anormaux » ou « surnaturels » est énorme. Cinquante/cinquante. Pleins d'espèces se côtoient : les loups-garous, les vampires, les mutants, les sorciers et tant d'autres.
Mais c'est un problème car les vampires ne sont pas tous végétarien, les loups-garous ne se contrôlent pas tous, les sorciers ne sont pas toujours gentils...et la population se questionne devant les morts suspectent. Et plusieurs personnes se doutent de quelque chose. Ce n'est plus qu'une question de temps pour que le secret éclate et que les morts éclosent.

Vous vous êtes déjà demandé combien de temps ça pouvait prendre de changer de vie ? Combien de temps doit durer une expérience pour qu'elle suffise à nous changer. Quatre ans ? C'est le temps qu'on passe au lycée chez nous. Une année ? Huit semaines ? Le temps d'une tournée de concerts ? Est-ce que notre vie peut changer en un mois, en une semaine ou même en une seule journée ? On est tellement pressé de grandir, de voir le monde, d'avancer dans la vie. Mais quand on est jeune, une heure peut suffire à tout changer. Qu'est ce qu'une heure dans une vie a part 3600 secondes ? Une discussion ? Un choix ? Une déclaration qui pourrait changer le reste de votre vie ? Il y a tellement de possibilité, chaque personne agit différemment selon la vision qu'elle a de la vie, certain profiteront de leur jeunesse jusqu'au bout s'amusant, mettant leur vie en danger pendant que d'autre prendront soin de se construire leur rêve. Et pour construire un rêve il n'y a pas un meilleur endroit que Miami ! Si je vous dit Miami vous pensez a quoi en premier ? Soleil, plage, surf, belles filles .. Enfin un vrai paradis quoi …

2012, Vegas. Cette ville que l'on appelle la ville de tous les pêchers. Cette ville si parfaite aux yeux de tous et si invitante vue de l'extérieur. Vous faites vos valises dans l'espoir de la visiter en prenant des centaines de photos de ses endroits historiques en apportant que le strict minimum. Avertissant votre patron, vos amis et votre petite famille que vous serez de retour dans deux petites semaines. Ensuite, vous voilà partie soit en avion ou en voiture pour la destination désirée. Un trajet qui peut vous sembler affreusement long et pénible, mais qui vous émerveille les yeux dès l'arrivée une fois la nuit tombée avec toutes ses lumières éclairées. Puis vous vous retrouvez enfermer dans une toute petite chambre d'hôtel ou dans une suite de luxe. Cela va avec vos moyens financiers et ce que vous pouvez vous offrir (votre argent que vous avez préconisé tel «l'avarice» l'aurait fait pour son propre intérêt). Votre émerveillement vous empêche de fermer l'œil avant les quatre heures du matin et vous plonge dans un rêve qui peut vous paraître bizarre.... Pourquoi aie-je laissez mes paroles s'évaporer, moi qui étais si certain de pouvoir tenir le coup devant tous les pêchers imaginables ? Peut-être qu'au final, c'est vrai ce que l'on dit de cette ville. Elle change vraiment les gens qui la visitent. Et vous, pourquoi êtes-vous resté ?

« Mesdames et messieurs, bonsoir. Il est vingt heures et nous sommes le dimanche 23 décembre 2012. Il semblerait que la fin du monde ne nous guette plus, et que les fabulations n'ont pas lieu d'être. Réjouissons nous de ces vaines spéculations avec l'arrivée du réveillon. Nous espérons que vous passerez d'excellentes fêtes de fin d'année. En attendant, voici les titres de ce journal... »

La fin du monde était malheureusement bien annoncée pour décembre 2012. Tout commença le 21 décembre, dans un chantier sur la côte ouest des Etats-Unis. A l'heure du déjeuner, quatre ouvriers savouraient leurs sandwichs, assis sur des bancs. A l'origine, ils devaient être cinq, et attendaient leur collègue, étonnés de ne pas le voir arriver avec ce retard de plus d'un quart d'heure. « Où est Benny ? Il devait manger avec nous non ? » « A tous les coups il doit être en train de téléphoner à sa femme. » « Ça ne lui ressemble pas de louper le déjeuner, vu comme il mange... » « Ah bah tiens le voilà. Benny ! Oh mon pote ! T'étais où ?! On t'a pas attendu tant pis pour toi ! Amène toi ! » « Qu'est-ce qu'il a à la jambe... ? Il saigne ? » « Benny ?! Eh vieux... qu'est-ce que tu t'es fais ? Benny... oh... Ben... pourquoi tu es... BENNY ! NOOOOOOON ! » Personne ne pu venir à leur secours, et lorsqu'on arriva sur place, les quatre ouvriers étaient déjà couverts de sang, leur chair en décomposition, et les yeux d'un jaune vitreux.


L'épidémie se propagea à une vitesse fulgurante, les médias avaient peine à suivre l'évolution et à tenir la population américaine au courant. Durant le mois de janvier, les nouvelles s'étendaient jusqu'en Europe, où la situation n'était guère meilleure. La France, l'Allemagne et l'Espagne furent touchés et le virus s'étendit sur tout le continent en l'espace de trois semaines. L'Asie et l'Océanie furent contaminées durant le mois de février, et début mars, le monde entier était en pleine apocalypse. Le gouvernement américain, face à cette situation de crise, décida de mettre les bouchées doubles et prit une décision importante. A Washington, des murs immenses furent construits autour d'une partie de la ville. De Foggy Bottom à la frontière de Capitol Hill, ce QG regroupait alors les survivants de cette épidémie afin de les mettre en sécurité. La Maison Blanche en son centre, le gouvernement cherchait alors des solutions pour mettre fin à cette apocalypse. Des mesures furent prises, et des moyens développés afin de permettre la survie de tous. Les forces spéciales étaient déployées. Les murs, constamment surveillés par des hommes armés, l'enceinte protégée par les forces de l'ordre... En juillet, voyant que la situation restait la même, le gouvernement décidé de baptiser ce QG afin de le considérer comme une ville à part entière. Heaven's Land vit le jour, avec dans son enceinte, l'ambiance d'une ville coupée du monde extérieure et du cauchemar qui le possède. Boutiques, restaurants, hôpital, poste de police, banques... tout y était pour faire de ce QG une véritable ville. Évidemment, l'argent, malgré sa perte de valeur, reste maître de la situation. De ce fait, le gouvernement se permet de mieux s'armer auprès d'un centre de réfugiés au Canada, le plus gros et le plus performant existant. En échange de quelques billets, ils acceptent de fournir les américains en matériels, par voie aérienne.

Seulement, cette situation n'est pas du goût de tout le monde. Les civils pauvres de base vivent dans un bidonville, dans l'est d'Heaven's Land. Ils survivent comme ils peuvent, et leur colère ne fait pas réagir le gouvernement. De ce fait, une alliance de rebelles s'est créée au sein de cette communauté. Fondés par deux frères, ils ont dans l'espoir de faire réagir les autorités, et se donnent un objectif simple : améliorer la situation des bidonvilles. Ils volent des armes, des provisions au gouvernement, grâce à leur vivacité et à leur connaissance du terrain. Les tueries s'enchaînent pour le bien de ces personnes dépourvues de moyens. Ils sont les Robins des Bois des temps modernes, entourés d'une petite équipe qui leur prête main forte. Le gouvernement décide de réagir en empêchant les gens des bidonvilles de se rendre dans la partie ouest de la ville, en leur fournissant le stricte minimum tous les mois. De leur côté, les personnes que l'on considère comme ''riches'' vivent sans se préoccuper des autres et ont un quotidien banal, en laissant cependant certains d'entre eux scandalisés par la situation, mais impuissants.

Ne pas se sentir à sa place. Avoir l’impression que la vie qu’on mène ne nous convient pas. Savoir qu’on s’est trompé dans nos choix passés mais être obligé de vivre avec le reste de notre vie. Dans ces cas là, on a qu’une envie, partir. Loin, très loin du quotidien qui parfois nous empoisonne. Tout laisser tomber, amis, boulot et tout recommencer ailleurs, là où l’herbe est plus verte. Oui mais voilà, partir, tout recommencer, c’est bien mais pour aller où ? Alors on se dit que finalement, même si notre vie ne nous convient pas, partir n’est surement pas la solution. L’inconnu nous fait peur, il faut l’avouer et puis, tout laisser derrière nous n’est pas facile.

Les soirées télé avec nos potes et des pizzas qui finissent souvent alors qu’on est en train de refaire le monde. Le banc sur lequel on a déclaré sa flemme à l’élu(e) de son cœur pour la première fois. Et puis, il y a le travail aussi. Ce travail qui nous sort par les trous de nez, qui nous empêche de vivre notre vie comme on l’entend mais qui nous permet aussi de vivre tout simplement. De payer les factures, le loyer et aussi nos sorties. Pourtant, on ne peut s’empêcher de se demander « et si le bonheur était ailleurs ? »

Et puis un jour, le déclic. On fait nos valises et on part. On reprend tout à zéro ailleurs. Un endroit où l’on se sentira bien, où le quotidien ne se résumera pas à métro, boulot, dodo. Une nouvelle ville pour une nouvelle vie. On change tout. On prend la vie du bon coté. On fait de nouvelles connaissances, de nouvelles découvertes. On tente de nouvelles expériences qu’on ne pensait jamais pouvoir réaliser dans le passé à cause du regard des autres. On devient plus serein, plus ouvert. Et puis, on va heureux au travail. Le soir, on sort boire un verre avec des collègues ou des amis. On drague, on couche et le lendemain, on oublie. On passe à autre chose tout simplement parce qu’on ne s’encombre plus de remord et qu’on profite de ce que la vie a à nous offrir.

Bienvenu à Orlando, charmante ville de Floride connue pour y abriter le plus célèbre des parcs de loisir, j’ai nommé Disneyworld. Que vous veniez ici juste en touriste, le temps d’une pause fun dans votre triste vie ou que vous y résidiez, une chose est sure, Orlando vous permet de vivre à votre rythme et d’y faire tout ce que vous souhaitez. Ici, peut importe qui vous étiez avant, ce qui compte c’est qui vous êtes maintenant. Alors, prêt à voir votre vie changer ? La ville au cent lacs n’attend plus que vous.

Qui ne connaît pas Rio de Janeiro, la ville la plus prisée des jeunes en quête de liberté et les milliardaires désireux d’investir dans les nouveaux pays émergents ? STUFF&CO vous délivre en exclusivité les impressions d'habitants qui ont changé de vie pour s'installer au Brésil. Peut-être ainsi pourrez-vous faire le choix d'aller y faire un tour ou même changer de vie, vous aussi ? STUFF&CO a parcouru tout Rio de Janeiro pour recueillir les avis de Brésiliens. En voici l'un qui nous tient à coeur, c'est celui de mademoiselle Stewart. Elle a décidé de changer de vie en un coup de tête, inspirée des magazines et des reportages. Elle trouvait que Rio de Janeiro était une magnifique ville où elle ferait ses études, "mon avenir est entre de bonnes mains" a-t-elle déclaré. "de plus, l'université où je compte étudier est très réputée." Au début, sceptique, elle a avoué avoir dû réfléchir, mais une opportunité comme celle-ci ne se refusait pas, surtout lorsqu'elle avait eu des avis positifs de ses amis. Alors, prêt à tenter vous aussi, cette aventure ?

Qui ne connaît pas l’histoire du triangle des Bermudes ? Cette zone triangulaire délimitée par l’archipel des Bermudes, la côte Est de la Floride et l’île de Porto Rico, surnommée aussi le « Triangle du Diable », lieu de mystérieuses disparitions de navires et d'avions depuis le XIXe siècle. Cependant, une réalité est cachée aux yeux de tous : Au beau milieu de l'océan existe une île dont peu de personnes connaissent l’existence. Seuls ceux pénétrant dans le triangle y ont accès. Cependant, personne n’est jamais revenu de cette île. Ce petit îlot désert cache, en effet, le plus terrible des secrets… une communauté de vampires !

Le cockney désigne une culture, c'est-à-dire un accent, un dialecte, une façon de vivre et un ensemble de coutumes issues de la classe ouvrières londonienne. Cette culture est emblématique de la ville de Londres et beaucoup de ses traditions perdurent jusqu'à aujourd'hui. Désormais, ce mot et son sens représentent l'esprit typique de la ville de Londres.

Cette ville n'est semblable à aucune autre dans le monde. Elle réagit comme un être humain: il vous faut vous unir à elle pour la découvrir, apprendre à l'aimer et vivre avec elle, chaque londonien sait cela. Cette ville cosmopolite réussit son melting-pot en intégrant de cette manière tout nouvel habitant en son sein. Il y a donc peu de différence entre un immigré indien fraîchement arrivé et un anglais de souche; nous sommes tous égaux aux yeux de cette ville.
Ville tantôt agitée en émeutes, manifestations, et autres, mais restant très unie sous le drapeau de la nation quoiqu'il arrive. C'est une ville de mystères, de découvertes, pouvant être aussi chaleureuse que glacée (et c'est aussi valable au niveau du temps!). La vaste ville nous offre des visages différents à chaque coin de rue. Pourtant, l'endroit forme une unité sans pareille, où des peuples se croisent et s'éloignent, mélangeant astucieusement les gens et les genres.
Ses habitants sont tous plus différents les uns que les autres: certains recherchent le bonheur, d'autres veulent se battre pour une cause; certains ont des secrets à cacher, d'autres les cherchent. Certains sont fous, d'autres discrets; certains sont amoureux, d'autres haïssent tout le monde. Le pouvoir de la ville est de réunir tout cela en son sein. Ici, les contraires s'attirent, mais l'on s'assemble avec celui qui nous ressemble aussi. Ici, tout est possible. Amour, passion, haine ou indifférence, la ville vous y conduira forcément; elle ne vous laissera jamais insensible.

Nous sommes en 2012, et vous incarnez l'un des habitants de cette fabuleuse cité.

Métro-boulot-dodo : schéma classique suivi par la plupart des habitants de ce pays, une vie banale, sans éclat, toutes ces existences sont une copie d'une copie d'une copie, une succession de journées identiques, de réveils mécaniques... Moi ce que je veux, quand j'ouvre les yeux, c'est saisir l'étincelle d'un jour nouveau, où rien n'est planifié, je n'veux pas suivre l'autoroute de la routine et du bon sens, je veux une explosion de chemins de traverse, je veux m'amuser, vivre intensément chaque instant, comme s'il pouvait être le dernier.

Las Vegas, Sin City, le terrain de jeu de l'Amérique, quel meilleur endroit pour balayer les règles d'un revers de main ? On refuse de se plier au modèle de la société. On court après la liberté, on se consume, on brûle intérieurement, on est fou de vivre, assoiffé de liberté. Courir après l'impossible, s'abreuver de rires, se blesser aussi, souvent, connaître toutes les arcanes de la souffrance, être dévoré par la passion. Vegas rayonne de milles lumières, brasier incandescent dans le désert de Mojave, une oasis qui détonne au milieu de nulle part, un appel à la décadence, autre monde dont on a oublié les moeurs. Il n'y a dans ces rues que la rumeur grondante de l'insouciance, ce parfum de liberté qui se répand sans cesse. Il suffit d'un pas pour franchir la ligne de l'indécence, au diable les plans d'avenir et les rêves préfabriqués, les règles ne sont faites que pour être brisées.

New York, une des plus grandes villes des États-Unis. Souvent surnommé Big Apple ou encore la grosse pomme, on ne peut pas y passer sans y rester. Seulement parmi tous ces New Yokais, il y a aussi pas mal d'étudiants et des étudiants qui étudie dans cette grande université qu'est Columbia. Elève trié sur le volet, mais avec un nombre de domaine d'étude très large, la diversité ne manque pas dans ce grand établissement reconnu et faisant partie de l'Ivy Ligue. Entre les guerres des confréries, les choix des étudiants et la vie New Yorkaise, comment sans sortir et réussir la vie dont on souhaite mener ? Viens t'y tester et tu le sauras très vite.

Tout est parti d’un homme, qui rêvait en grand. Passionné par la Johnny’s Entertainement, et son homologue féminin, le Hello!Project, il a décidé de débourser assez pour unir les deux, en une seule et même agence, la Hello!Boys&Girls. Countdown communs, projets communs, clips communs, tournées communes pour les Johnny’s et les Hello!Project ! Une nouvelle raison à l’hystérie des fans, mais qu'en est-il de leurs idoles ? Choisiront-ils la rivalité, ou l'union ?