Sujet: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:03
Hamilton Zac, Guerlain
ft. alex pettyfer
20 ans ▬ 01 janvier ; sydney ▬ sciences naturelles ▬ zeta.
MORE ABOUT YOU
BEN
Ben, pour vous servir. [...] applaudissem... non? ok, je note.18 anset toutes ses dents, étudiant en première année de BTS GPN. Ouais ouais je sais, études de branleurs et de fumeurs de gandja mais que voulez-vous, hé, on n'se refait pas. (a) c'que j'aime? Toh, si je commence la liste on a pas fini... Commençons plutôt par c'que je n'aime pas: le matin, le dimanche et les crevettes. Chacun son truc me direz vous. Sinon à part j'suis un bon vivant, le type un peu dégénéré qui voit le bon partout et qui ne connaît pas les moments sous la couette, dans le noir en compagnie d'un pot de nutella. Ou pas trop. Enfin, c'est le moment de me taire. (a) Quand à mon niveau rp, vous pourrez le juger par vous même! Sur certains forums c'est terrible, sur d'autres ça l'est aussi mais beaucoup positivement... --> Goddess Alex Pettyfer en guise de couverture. Oh ouais je l'avoue, ce type est bandant. Tiens d'ailleurs j'trouve que je lui ressemble terriblement! ou pas. (a)Et pour le code du réglement voilàà, preuve que je suis un bon garçon: I never read the rules.
Dernière édition par Zac G. Hamilton le Sam 23 Oct - 17:38, édité 5 fois
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:03
INTRODUCTION.
JOURNAL INTIME ; ZAC▬ « Une angoisse, des sanglots étouffés. Je n'ai aucune honte à me prétendre faible. A oser avouer que les larmes sont mes alliées, que le chagrin est mon seul ami. Qui pourrait prétendre qu'il n'y a rien de masculin en cela? Qui pourrait donner une définition de la virilité? Personne. Parce que chaque point de vue compte, chaque détail est différent pour chacun de nous. Mais je pense avant tout qu'un homme se doit de connaître ses limites. Qu'il doit savoir que rien n'est éternel. S'attendrir sur la valeur des choses est primordiale, elle nous permet de réaliser à quel point la vie peut être belle. Clémente. Généreuse. Un homme doit connaître le goût amer de la perte. En cracher sa saveur marquante, en réfuter le contact. Apprendre à vivre avec. Apprendre à souffrir avec. Je ne pense pas qu'il y ait de bonnes, ou de mauvaises situations. Juste un obstacle de la Providence, un test, une provocation. L'instant pendant lequel nombre de mâles utilisent la force ou la violence pour se faire une place. Une réputation. Je ne prétendrais pas que je suis contre la violence. Personne ne l'est. Nous le sommes tous. Il est dans la nature humaine de prendre plaisir à soumettre un adversaire sous sa domination, de jouir de sa souffrance. Cruel. Quelle pitié. »
PROLOGUE.
SYDNEY ; 18 JANVIER▬ « t'as jamais dit que c'était la joie. » T'as jamais dit que c'était le bonheur. T'as jamais dit comment tu t'appelais. Je ne connais même pas ton nom et pourtant je te suis. Dans un enfer, dans une impasse, une grande rue vide de sens. Toi et moi - et tous ce qui le veulent - plus lui et elle et tout ceux qui sont seuls, ont ressemblent à rien. Rien du tout. (..)
C'est fou ce que les gens peuvent être pitoyables. Pitoyables, c'est le mot. Pourquoi vouloir à tout prix se préoccuper de son futur? Chercher dans les moindres détails ce que sera notre vie, la couleur des meubles, la taille du tapis, et, oh, appartement ou maison? Il en faudrait presque un calepin, où chaque jour offrirait la possibilité de tourner une nouvelle page, chaque ligne correspondant à chaque heure de la journée, à chaque acte à effectuer. Pitoyables, mais en même temps si attirants, dans un certain sens. Parce qu'eux, tous ces gens sans visages, toutes ces personnes qu'il ne connaitra sans doute jamais, pouvaient bien être ridicules, à tout prévoir et à ne jamais s'attendre à un quelconque changement dans leur vie ennuyeuse et sans intérêt. Mais ils se levaient chaque matin et savaient où poser le pied. Ils savaient que telle personne les attendait à tel endroit, que tel magasin recrutait et que telle boutique était prête à les engager. Au moins n'avaient-ils pas à se soucier de ce qui allait leur arriver sitôt sortis de chez eux, comme c'était si souvent son cas. Et surtout, ils étaient libérés de l'influence de leurs proches. Normal. Une vie sans saveur pouvait-elle apporter une quelconque source d'inquiétude? A part oublier de nourrir le chien, mal fermer le robinet de la cuisine et tâcher un chemisier avant d'aller travailler, rien de bien dangereux. Mais à quoi cela servait-il? Pouvait-on appeler cela vivre? La vraie vie et cette façon d'exister n'avaient qu'une seule chose en commun: la respiration et les battements du coeur. La vie au sens scientifique du terme, en somme. Mais ou était cette adrénaline qui montait à chaque nouvel évènement non attendu? Cette exaltation qui traverse la tête, les poumons, le coeur, laissant un sillon de frissons sur la peau, lorsque l'on fait une chose interdite ou tout simplement une chose que l'on ne s'attendait pas à faire? Ou étaient le goût de l'alcool, la chaleur du corps des femmes, la langoureuse tentation d'un après-midi à ne rien faire, la délicate sensation d'un baiser au coin des lèvres? Exactement. Nulle part. Et cette vie n'était pas faite pour lui.
Je me lève, me dirige vers le miroir, et touche du bout du doigt le reflet qu'il me renvoie si fidèlement. Ou presque. Que puis-je bien y voir? Tout simplement celui que je vois depuis tant d'année à chaque fois qu'il m'arrive d'ouvrir les yeux. Un garçon plutôt grand, peut-être un soupçon débraillé, mais plutôt séduisant dans l'ensemble. Enfin je crois. Je plaisante. Evidemment que je suis séduisant. Il suffit de voir les regards que peuvent me lancer les filles, ou seulement écouter les commentaires des membres de ma famille depuis que je suis assez grand pour les comprendre : « Mais qu'il est adorable, ce petit garçon! », « Regardez-moi cette petite bouille! » et tant d'autre que nous n'avons nul besoin de retenir ici, l'essentiel ayant été dit. Je n'ai pas pour habitude de me voiler la face, et faire preuve d'une fausse modestie en me faisant passer pour quelqu'un de différent n'a pour moi aucune sorte d'intérêt. La fausse modestie. L'hypocrisie. Les faux-semblants. Pourquoi aie-je l'impression que pour avoir une place en ce bas-monde, l'être humain doit posséder ces trois caractéristiques? Mais il n'est pas question d'énoncer ou que ce soit ma théorie, évidemment. Car quiconque oserait mettre l'homme face à ses défauts se verrait privé du droit de le côtoyer. Du moins en théorie. J'ai dis que l'être humain devait avoir trois "qualités" indispensables pour s'intégrer. Il se trouve que moi, je ne les possède pas.
ACTE PREMIER ; Parfois, on se demande pourquoi on naît. Pour faire des grandes choses? Ou pour aider les autres?
PARIS ; 31 JUILLET▬ « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. » « Ma... Man. » alignais-je à grande peine tout en battant des mains. Ces petites mimines qui font le bonheur des parents. Je ne devais pas excéder un an. J'avais tout du gamin parfait. De grands yeux bleus curieux, une peau de pêche d'une grande douceur, et une touffe de cheveux blonds se battant en duel sur ma tête. Mes sourires fusaient, et mon rire s'élevait facilement, cristallin. Bref. Mon bonheur de bébé était au complet. Mes deux parents se pressaient autour de moi à qui serait le plus aimé. Ça m'amusait. Et j'en redemandais. Ma famille, d'autant que je m'en souvienne était nombreuse. De nombreux cousins, frères, sœurs en tout genre. Lors des réunions de famille, le grabuge était tel que j'en étais incommodé. Au moindre de mes gazouillements, bon nombre de personnes accourraient et je faisais le tour des paires de bras avant d'être mis au calme. Qu'aurais-je pu demander de plus? Peut-être que ce scénario dure, toute ma vie.
ACTE SECOND ; Comme une histoire, le bonheur a un début et une fin.
LONDRES ; 01 MARS▬ « le début de la fin. » Je venais d'avoir cinq ans. Très beau petit garçon, je continuais à faire la fierté de mes parents. Sage, quelque peu morpion, je ne m'attirais que rarement les cris. J'étais obéissant, je me contentais d'un rien comme jouet, bavard, curieux, souriant. Il m'était plaisant de plaire aux autres, et d'être aimé aussi facilement. Aussi continuais-je mes petits numéros de charme. Qui fonctionnaient à merveille. Mais c'est à croire que le cadre était trop idyllique pour fonctionner jusqu'à la fin des temps. Nous étions parti en vacances en France, au bord de la mer. Les deux semaines s'étaient merveilleusement bien passées. En famille, avec les gens que j'aimais, l'eau, les vagues, le sable. Ces gens qui ne parlent pas votre langue mais qui se montre d'une grande gentillesse envers vous. Comme s'ils vous étaient redevables de leur apporter autant de joie, de rire enfantin. Ce fut au retour, que tout se gâta. A la sortie de l'aéroport, mes parents récupérèrent la voiture qu'ils avaient laissé chez des amis. Il nous restait une vingtaine de kilomètres à faire avant d'arriver à la maison. Nous étions tous fatigués et pressés de rentrer. Avec le temps je me persuadais que c'était à cause de la fatigue que mon père ne vit pas le camion couper la route. Et arriver droit sur le côté. Notre côté. Le choc fut brutal, et la voiture fit de nombreux tonneaux avant de se stabiliser. Déjà, les gens affluaient autour de l'accident, la sirène des pompiers retentissant dans le brouhaha. J'entendais tout cela comme dans un rêve. Des bruits lointains. Mais ici, rien ne pouvait m'atteindre. J'étais dans les bras de maman. Papa faisait le clown pour me faire rire. Ici, il ne m'arriverait rien. J'étais en sécurité. Avec les gens que j'aimais.
bip ... bip ... bip cette sonnerie était insupportable. Arrêtez-la, bon dieu! Gémissant, grognant, je me débattais contre le voile sombre du sommeil qui m'avait retenu durant cinq longs mois. Cinq mois de vie perdus. Jetés à l'abîme qu'avait été le mien. Mes souvenirs étaient flous. Douloureux. Me rappelais-je de quoi que ce soit? Pas sur le moment. Une odeur de désinfectant me sauta à la gorge et me fit tousser. Sans le savoir, j'attirais l'attention sur moi. De nombreux regards remplis de larmes de tristesse et de soulagement. Je ne les reconnaissais plus. Maman? Papa? Où êtes-vous? En proie à une folle inquiétude je m'agitais, je convulsais. Du haut de mes six ans, je ne comprenais pas ma présence ici. Que s'était-il passé? Et où étaient mes parents? Putain mais lâchez-moi!
ACTE TROISIÈME ; Le jour où tout bascule, on jète notre cœur dans le fleuve du passé.
LONDRES ; 25 JUIN▬ « la violence, l'arme des faibles. » « Alec? Alec! Descends de suite! » A travers le single des Hives, j'entendais faiblement une voix qui prononçait mon prénom. Fuck. Rien à foutre. Qu'elle se démène autant qu'elle le souhaite la vieille, j'bougerais pas mon cul de ce putain de lit. Torse nu, les mains croisés derrière la tête, je chantais en play back. La porte s'ouvrit à la volée, sur une femme rondelette et d'âge mûr à l'air furieuse. Je soupirais. Encore un sermon? Elle n'avait que ça à faire, franchement. Mais je n'étais pas là pour l'écouter parler. Je montais le volume et fermais les yeux. Jusqu'à ce qu'elle me les arrache. « Je commence à en avoir assez de toi! T'es qu'un petit mordeux qui ne sait rien faire de ses journées! Allez p'tit con, lèves-toi! » L'insulte avait réveillé en moi une haine refoulée. Comment m'avait-elle appelé? Brusquement mes paupières levèrent le voile, et mes pupilles se posèrent sur la femme. Avec dureté, méchanceté. Je me levais, lentement, et m'approchais d'elle. La dépassant d'une bonne tête et demie je la toisais. « Pardon? J'ai cru mal entendre. » Les traits de mon visage étaient sans appel: encore une audace de ce genre et elle le regretterait. Je n'avais plus rien à voir avec le petit garçon d'autrefois. Peu après ma sortie à l'hôpital, j'apprenais la mort de mes parents. Morts sur le coup. Le choc fut tel que depuis ce jour, je me trouvais métamorphosé. Insolent, arrogant, violent, vulgaire, vicieux, vivant dans le sexe et la drogue. Cette femme qui m'hébergeait n'était rien d'autre qu'un foyer d'accueil. D'où mon je-m'en-foutisme quand au respect. Rien à foutre. La confrontation aurait tourné au vinaigre si elle n'avait pas trouvé plus judicieux de me laisser trente minutes pour dégager. Je ne demandais pas mieux.
ACTE QUATRIÈME ; Il faut changer le monde vite fait, sinon c'est lui qui va nous changer.
LOS ANGELES ; 13 JANVIER▬ « la métamorphose. » Vingt ans. J'étais toujours le même. A la différence près que je m'étais trouvé des études à l'université de Los Angeles, un appartement, et donc acquis mon indépendance. Je ne voyais plus aucuns membres de ma famille, et je ne m'en portais que mieux ainsi. Comme chaque matin je prenais le métro pour me rendre en cours. Le métro qui fourmillait de personnes en tout genre. Putain. Quinze minutes pour prendre un ticket. Tu le fais toi même et en vitesse ou je m'occupe de ton cas? C'est ça, gueules un bon coup ducon. Tu t'sentiras mieux ce soir. Comme tout célibataire indépendant et endurci, je ne désirais et ne vivais pour aucunes femmes. Quoique, depuis un certain jour, je m'attendrissais. J'abaissais mes barrières face à tant de douceur et de fragilité. Je venais de trouver mon opposé féminin. L'unique qui, depuis quelques semaines, me transformait. Mes sautes d'humeur s'espaçaient, ma violence se dissipait. Petit à petit. A ses côtés, il me semblait oublier toutes mes rancunes, je me sentais bien. Apaisé. Allons donc, Zac se met au romantisme? Comme quoi, il y a un début à tout. Qui sait, peut-être que grâce à elle je pourrais recommencer à vivre. A respirer de nouveau, à sentir le sang circuler dans mes veines.
Des mois s'étaient passés. Les mêmes, d'une monotonie terrifiante. Toutefois, une lumière dans cette obscurité: Amber. Qui partageait ma vie à présent. La chose était nouvelle, je me sentais déboussolé, comme un enfant. Peut-être avais-je des choses à me repprocher? Comme quoi, me direz-vous. Mon coeur se serrait lorsque je pensais à Jessica. Mon amour de jeunesse, la première pour qui mon âme s'était mise à vibrer. Pourquoi avions-nous redouter de briser notre amitié? Je l'ignorais. Allez savoir ce qui se passe dans la tête des enfants lorsqu'il s'agit de sentiments. Quoiqu'il en soit, nous sommes restés amis. Tout le temps? Hélas, non. Nos retrouvailles ont été tellement belles, tellement bienfaisantes! que nous n'avions pu nous empêcher de nous embrasser. Là, sous la douceur de la brise et le silence des étoiles. J'ignore ce qu'il a signifié. Quoiqu'il en soit, les remords m'accablent. Surprenant?
Dernière édition par Zac G. Hamilton le Mar 26 Oct - 15:42, édité 12 fois
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:06
oh, mon dieu. J'aime cet homme ! *-* ♥ -respire.- un peu de sérieux, bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche de présentation. ♥
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:11
Ooohw mon Zac ! 8D C'est Amber qui va être contente !
Ahah Welcome ! <3
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:14
Bienvenue ♥ Si tu as la moindre questions n'hésites pas :)
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:15
BIenvenue parmi nous ♥
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:16
merci à vous tous! j'aime quand on se bouscule pour me souhaiter bienvenue. #ZBAFF
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:26
On ne se bouscule pas c'est la moindre des choses Monsieur le coq
Je sens que je vais prendre plaisir à jouter avec toi !
Bienvenue parmi nous ....Monsieur-le-vantard !
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:39
plaisir partagé. et merci! me voilà au pays de la modestie. (a)
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:52
Pettyfer!
Welcome !
Admin ▬ the leaders ♔
it's summer time already !
02141 Cambridge
Inscription : 14/03/2009 Messages : 3165
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:52
Bienvenue parmi nous & merci de ton inscription même si c'est normal Ici, c'est moi le roi de la modestie d'abord
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:54
merci demoiselle.
Admin ▬ the leaders ♔
it's summer time already !
02141 Cambridge
Inscription : 14/03/2009 Messages : 3165
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 17:56
Je sais pas si je dois le prendre en bien ou mal
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 18:02
*o* non non non! bon dieu, je commence les boutades moi, j'vais pas faire le mois!
j'avais pas vu ton message, j'suis vraiment désolé. xD j'me permettrais jamais une telle chose. donc je reprend:
merci beaucoup! côté modestie une chose est sûre, on va bien s'entendre. (a)
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 18:07
On se calme y'a pas plus royale que moi !
Max' d'ailleurs, maintenant que j'y pense, il nous faut un lien ....deux lions pour une seule fac c'est pas le top
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 18:41
ALEX !!!!! Bienvenue et bonne continuation !
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 18:50
ouin ouin, ça va les chevilles? (a)
merci Maxine. très beau prénom au passage.
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 18:51
Tu veux me les masser Vantard ? (a)
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 18:58
ne me tentes pas surtout. c'est faux, on ne flood pas. (a)
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 19:38
j'vais pas te faire le même accueil que sur le topic du scénario, sinon on va me prendre pour une folle. (a) mais en tout cas ; merci merci merci d'avoir pris le scénario, je dois te vouer un culte à partir de maintenant. et si tu as des questions, n'hésites vraiment pas.
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Sam 23 Oct - 19:48
Weeeelc ! =D
*espere qu'elle gardera le même lien (a)*
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Dim 24 Oct - 10:39
ne m'remercie pas, j'ai adoré le scénario. je me remet à ma fiche de ce pas!
merci Alexie. faudra que tu m'en parles un peu plus, de ce fameux lien, héhé. (a)
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Dim 24 Oct - 11:23
Bienvenue (bon si je te parle de notre lien, c'est simple, je te déteste ^^)
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Dim 24 Oct - 11:31
Bienvenue beau blond
Invité
it's summer time already !
Invité
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul. Dim 24 Oct - 11:59
haan, un ennemi. *-* rien de tel que pour mettre un peu de piquant chez un personnage. merci!
et merci Lucy.
it's summer time already !
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul.
i'm the master of my fate, i'am the captain of my soul.